Une puanteur intense frappa les narines du héros, un remugle de vase et d’hémoglobine…
Dans la pénombre, il distingua une forme massive et écailleuse qui se mouvait lentement, ouvrant une gueule fétide…
Un énorme alligator se dressait devant lui, menaçant…
« Apparemment, se dit le Brigadier, voici le chien de garde de la maison. Dommage pour le guide, il était sacrifiable. »
(Dessin du 22 décembre 2024)
Deux paysans montent à la ville et vont boire un verre dans un café. Au bout d’un moment, le patron se penche vers eux, au- dessus du bar :
– J’en ai une bien bonne pour vous, les gars : « Qu’est-ce qui a quatre pattes et qui pue le fumier ? »
– Ben, j’savions point, répond l’un des deux fermiers.
– Toi et ton copain ! dit le patron.
Les deux fermiers éclatent de rire, éblouis par ce trait d’humour. Quelques jours plus tard, le Claude et le Françoué se retrouvent au café du village.
– J’en avions une bien bonne, dit le Claude au patron du boui-boui. Sais-tu ce qui a quatre pattes et qui pue comme un tas de fumier ?
– Ben non…
– Moué et le Françoué !
