blague psychanalyse

Amoureuse de son père

La scène se passe à Vienne, par un bel après-midi de Mars.

Une des patientes de la première heure de Sigmund Freud, rentre dans un café comme une fusée et s’assoit à la table ou son amie déjà installée.

A peine assise, elle fond en larmes.
« Qu’est-ce qui ne vas pas meine liebe ? » lui demande la copine.

« C’est terrible ! » gémit la jeune fille. « Aujourd’hui, le Docteur Freud m’a dit que j’étais amoureuse de mon père, et… et… et tu le sais aussi bien que moi : c’est un homme marié ! »

Un bébé de 45 ans

– Docteur, dit le nouveau client d’un psychanalyste, je souffre, à quarante-cinq ans, que ma mère me traite toujours comme un bébé.

Après avoir consulté sa montre, il enchaîne :
– Avant de poursuivre, je vais vous demander la permission de passer, pour quelques minutes, dans la salle d’attente où elle est restée. C’est l’heure qu’elle me change mes couches.

La psychose du téléphone

– J’ai, raconte un industriel, dû suivre un traitement psychanalytique. La sonnerie du téléphone m’effrayait à un point tel que, dès qu’elle retentissait, j’allais me cacher sous mon bureau pour tenter d’y échapper.
– Et alors ?
– Et bien, après trois séances de psychanalyse par semaine pendant deux ans, je suis complètement guéri. A présent, je réponds au téléphone même quand il ne sonne pas.

On entend ce que l’on veut entendre

– Moi, confie un monsieur à un consommateur qui prend un verre à côté de lui, dans un bar, je ne crois que la moitié de ce qu’on me dit
– Vraiment ! Et quelle est votre profession ?
– Psychanalyste.
– Ah ! Eh bien, moi, c’est tout le contraire : je crois toujours le double de ce qu’on me raconte.
– Quelle est donc votre profession ?
– Inspecteur des contributions.