L’assurance prothèse
Un homme avec une prothèse de jambe synthétique se décide à contracter une assurance-incendie pour sa prothèse.
Le premier agent d’assurances contacté lui propose une prime annuelle de 500 euros, estimant que le pied pouvait brûler une fois en 20 ans et que la valeur de la prothèse est de 10 000 euros.
Le deuxième agent lui propose une prime annuelle de 50 euros. Lorsque l’homme demande au deuxième agent comment il est parvenu à un si petit montant, il répond :
« J’ai appliqué le barème proposé dans mes abaques… L’objet est bien une structure synthétique avec présence d’un système d’arrosage par le haut, n’est-ce pas ? »