blague prothèse

Brigadier Underground – page 9

Le sergent Camerone avait l’expérience de l’Underground. Son corps portait les marques des confrontations avec la faune locale, y laissant un œil ici, une main là… chaque organe perdu était remplacé par une prothèse qui le faisait ressembler à un patchwork mécanique, effaçant progressivement l’humain. Il restait néanmoins déterminé à mener sa mission.

Quant à Serpentine, elle était issue de ce monde : une changeline capable d’adopter l’aspect des créatures qu’elle affrontait et de reproduire leurs aptitudes. Le Brigadier avait eu l’occasion d’apprécier ses talents.

Toutefois, il ne voulait pas les exposer plus que nécessaire. Ils lui serviraient de guide mais lui seul se chargerait de ramener la jeune femme kidnappée en les impliquant le moins possible.

Le Juggernaut, le véhicule de la Brigade, s’ébranla lourdement et pris la direction des bas-fonds.
(Dessin du 11 novembre 2024)

Le conducteur sans bras

Les perles : la police

Un individu signale que son beau-frère, qui vient de le quitter, est parti au volant de son véhicule en oubliant sa prothèse de bras. Il aimerait que ce dernier soit intercepté en raison du danger. À moins d’être vraiment distrait, le conducteur a dû rapidement constater son oubli.

Panique chez les gros bonnets

Implants toxiques : Agnès Buzyn en alerte rouge.

dessin d'actualité humoristique sur la réaction d'Agnès Buzyn confronté au problème des implants toxiques
27 novembre 2018 – Panique chez les gros bonnets

Agnès Buzyn : « Allô Emmanuel ? Il paraît qu’au gouvernement, on a une prothèse Lemaire !!! »
(Caricature Agnès Buzyn – Dessin du 27 novembre 2018)

Le bras du voleur pris la main dans le sac

Un jeune avocat voulant se faire un nom hérite d’un cas typique de vol avec effraction. Et en flagrant délit, de surcroit. Mais il tente sa chance et décide d’adopter une défense originale : – Votre Honneur, le bras de mon client est passé à travers une vitre peu solide, et a ramassé quelques menus objets qui ne valent pas grand chose. Oserais-je vous faire remarquer que même si son bras est coupable, mon client ne l’est pas puisque son bras n’est pas vraiment lui. Je conçois que vous punissiez le bras, mais ne serait-ce point une iniquité de condamner l’individu tout entier ?

Le juge, bon joueur, regarde l’avocat avec un sourire en coin et lui dit :
– Maître, je trouve votre logique fascinante, et en adoptant votre point de vue, je condamne le bras du condamné à 12 mois de prison fermes. L’accusé peut accompagner son bras s’il le désire.

Une petite lueur d’amusement s’allume alors dans les yeux de l’avocat lorsqu’il voit son client se diriger vers le greffier, détacher son bras artificiel et sortir du tribunal.