blague prostitution

La blague des faveurs

Un commissaire de police interroge une secrétaire de direction, une blonde pulpeuse :
– Avez-vous une idée sur la raison qui a pu pousser votre patron à se jeter par la fenêtre ?
– Je ne sais pas, dit la secrétaire en sanglotant. Il était toujours gentil avec moi. Il y a deux mois, il m’a fait un cadeau d’un manteau de fourrure, le mois dernier, il m’a payé une Porsche et aujourd’hui encore, j’ai eu droit à un magnifique solitaire. Tenez, regardez, je l’ai au doigt ! Et puis, il m’a demandé ce qui me ferait plaisir pour que je lui accorde mes faveurs…
– Et que lui avez-vous répondu ? Demande l’enquêteur.
– Je lui ai juste dit que les autres hommes du bureau avaient l’habitude de me donner 50 euros.

Rivière de starlette

Deux starlettes se rencontrent dans le hall d’un hôtel sur la Croisette.
– Je vais te raconter quelque chose.
– Je t’écoute.
– Hier soir, un producteur est entré dans ma chambre alors que j’étais entièrement nue. À la main il tenait une rivière de diamants. Alors je lui ai dit : « Pour qui me prenez-vous ? Je ne veux plus vous voir ».
– Et alors ? Qu’est-ce qu’il a fait ?
– Il a été parfait. Il a éteint la lumière.

Le tapin au rabais

Une prostituée explique à une nouvelle collègue :
– J’ai horreur de faire le tapin en janvier, dans ce quartier commerçant.
– En quoi cela te gène ?
– Sur tous les magasins, il n’y a que des affiches : « soldes – soldes – soldes ». Alors, évidemment, en voyant cela, les clients demandent tous qu’on leur fasse aussi 25 % de réduction.

La sourde du bordel

L’hôtesse d’accueil d’une maison close dit à la patronne :
– Madame, c’est un étranger, il ne comprend pas un mot de français.

Et la patronne de s’écrier :
– Chouette ! Je vais pouvoir faire bosser la sourde-muette !

Le charme de George Clooney

Une jolie jeune femme, à la sortie du bureau, va s’asseoir dans un bar pour se détendre en prenant un verre. Tout à coup elle se frotte les yeux devant ce qu’elle croit être une apparition : George Clooney vient d’entrer dans le bar, tout sourire, décontracté, la classe !…

Il se dirige vers sa table, et s’assoit près d’elle, tout près… Il est sûr de son charme, mais encore faut-il entrer en matière…

Il fouille ses poches et s’aperçoit qu’il n’a pas un sou sur lui. Il s’approche encore plus près de la fille et lui murmure à l’oreille de sa voix de velours :
– Il me faut 100 euros dans l’immédiat. Et je suis prêt à faire n’importe quoi pour les avoir…
– Vraiment, vraiment n’importe quoi ? demande-t-elle.
– Oui, vraiment n’importe quoi ! lui dit-il les yeux dans les yeux.

La fille sort de son sac deux billets de 50 euros, un carnet sur lequel elle écrit son adresse, déchire la page et lui donne le tout :
– Tiens, voilà mon adresse. Quand tu auras fini de boire, tu viens chez moi et tu fais la vaisselle, la poussière et les vitres !