blague promesse

Le signalement de l’épouse

Un homme affolé va au commissariat déclarer la disparition de son épouse. Le policier lui demande :
– Pourriez-vous décrire son signalement ?
– Oui, mais si on la retrouve, promettez-moi de ne pas lui montrer la fiche !

La blague de l’argent enterré

Il était une fois un homme très avare qui avait travaillé toute sa vie et épargné son argent. Il aimait l’argent plus que tout et juste avant de mourir il dit à sa femme :
– Lorsque je mourrai, je veux que tu mettes tout mon argent dans le cercueil avec moi, ce sera pour ma vie après la mort.

Bien à contrecœur, sa femme lui fit le serment de mettre tout son argent dans le cercueil avec lui. Peu de temps après, il mourut. Au cimetière, il était étendu dans son cercueil entouré de quelques amis, membres de sa famille et de son épouse toute de noir vêtue.

Comme la cérémonie se terminait et juste avant que le cercueil soit refermé et porté en terre, l’épouse dit :
– Attendez une minute !

Elle prit alors une boite qu’elle déposa dans le cercueil avec son époux. Les préposés firent alors descendre le cercueil dans la fosse. Un ami lui dit alors :
– J’espère que tu as été assez intelligente pour ne pas mettre tout son argent dans le cercueil avec lui comme il t’avait demandé ?
– Bien sûr, je suis une bonne chrétienne et je ne puis revenir sur la parole faite à un mourant de mettre son argent avec lui dans le cercueil.

Et elle ajouta :
– Je lui ai fait un chèque…

La blague des frères infernaux

C’est l’histoire de deux gars vraiment toxiques. De vrais pestes qui ne pensent qu’à faire des ennuis aux autres habitants du village !

Mais par contre, ils vont à la messe tous les dimanches et ne sont pas radins quand vient l’heure de la quête car ils espèrent ainsi se racheter de tous leurs pêchés contre leurs concitoyens.

Un beau jour, un des deux frères vient à mourir. La veille des funérailles, le frère resté vivant vient voir le curé et lui dit :
– Je vais vous faire un chèque d’un beau montant qui vous permettra de finir la réfection du clocher… Mais il y a une condition : Pendant l’office, il vous faudra dire que mon frère « était un saint ».

Le curé lui dit que c’est d’accord, et il part encaisser le chèque le jour même.

Le lendemain, au cours de la cérémonie, le curé fait l’éloge funèbre et commence par ces mots :
« Cet homme était habité par le diable. Il trompait sa femme, on l’a soupçonné d’avoir allumé plusieurs incendies dans le village, il était violent… »

Et le laïus continue quelques minutes, jusqu’à ce que le curé conclut :
« …Mais comparé à son frère, cet homme était un saint ! »