blague producteur

La blague de l’intervention chirurgicale

C’est Monsieur David Goldenberg qui doit subir une opération très très délicate et coûteuse et pas remboursée par la Sécu. Madame Goldenberg, qui a des relations à la télévision, se met en rapport avec le producteur d’une émission médicale.

Finalement, le producteur dit à Madame Goldenberg :
– OK. L’émission prend en charge les frais de l’opération de votre mari. En contrepartie, tout sera filmé, du début à la fin.

Madame Goldenberg demande :
– Eh dites… Je n’aurai rien à me mettre pour passer à la télé. Est-ce qu’il serait possible de prendre en charge mes frais de tailleur ?
Et madame Goldenberg obtient l’accord pour aller faire des emplettes dans le Sentier.

Le grand soir de l’opération arrive. Madame Goldenberg qui est passé chez le coiffeur est sur son 31. La télé l’interviewe avant que l’opération ne commence, puis elle suit la progression de l’intervention sur l’écran.

Malheureusement, au cours de l’opération, Monsieur Goldenberg rend l’âme… L’équipe télé vient prendre les réactions de Madame Goldenberg qui répond :
– Aie vous savez, chez nous les gens du spectacle, on dit : « The show must go on. »

La blonde qui voulait faire du cinéma

C’est une blonde qui veut faire du cinéma, alors elle a déjeuné avec un producteur et elle raconte ça à sa copine :
– Oh là là ! J’ai bouffé avec un producteur de cinéma, il est dégueulasse, ce mec ! Il m’a dit qu’il avait sauté toutes ses vedettes.

Alors sa copine lui répond :
– Mais tu sais, dans le cinéma, ça se fait.

Et la blonde rétorque :
– Ouais, mais lui, il a produit « Lassie », les « Aventures de Rintintin » et « Mon ami Flicka ».

Le producteur de cinéma surmené

Un producteur de cinéma, qui s’était trop surmené, avait dû aller se reposer dans une maison de santé où il était pratiquement coupé du monde. Après quelques semaines de soins, une infirmière le trouve en train de feuilleter avec passion l’annuaire du téléphone.
– Qu’est-ce que vous lisez là ? Demande-t-elle.
– Le script de ma prochaine superproduction. L’histoire ne vaut pas grand chose mais quelle distribution !

Comment faire un film en Alaska ?

A Hollywood, un scénariste présente son dernier synopsis à un producteur.
– Comme vous me l’avez demandé, dit-il, j’ai situé l’action du film en Alaska.
– Parfait.
– Alors, j’ai imaginé que cet état se trouvait frappé d’une vague de chaleur, avec des pointes à 40°C à l’ombre.
– Une vague de chaleur en Alaska ? Mais pourquoi donc ?
– Voyons, si nous faisons évoluer notre vedette féminine au milieu des neiges, comment voulez-vous trouver un prétexte pour qu’elle exhibe ses charmes en revêtant un bikini ?

Le kidnappeur et l’acteur

La femme d’un célèbre acteur a été kidnappée. Après de longues heures d’attente, le téléphone sonne, enfin, au domicile du comédien.
– J’ai sous les yeux le montant des recettes de votre dernier film, annonce le kidnappeur. Si vous voulez retrouver votre femme saine et sauve, vous devrez déposer, dans une valise, en billets de 20 euros usagés, une somme correspondant à 25% de ces recettes, plus 250.000 euros pour mes frais de téléphone, et encore 250.000 euros pour la nourriture fournie à votre épouse…
– J’ai mieux à vous proposer, coupe l’acteur. Je vous offre de vous prendre comme agent, en vous donnant 10% sur tous mes cachets. Avec un talent pareil de négociateur, vous allez les mettre à ma botte, tous les producteurs.