blague prisonnier
Le prisonnier de guerre et la petite fourmi
Un prisonnier de guerre est dans sa cellule depuis des mois. Il est déprimé et pense à se suicider. Un soir, il entend une petite voix lui dire :
– Non, ne te suicide pas, je suis là !
Il cherche et finalement découvre une petite fourmi, avec laquelle il arrive à communiquer télépathiquement. Il lui donne des miettes de repas, lui fait raconter son histoire, comment elle est arrivée jusque là, sur la semelle d’une botte de gardien. Elle est seule aussi dans la vie. Ils font des projets d’avenir. Finalement, il est libéré. Il part avec sa précieuse amie fourmi dans une pochette. Il va droit à un bistrot et demande une bière, sur la terrasse.
La fourmi demande :
– Sors-moi, je voudrais voir ce que tu bois et en avoir une goutte.
Il lui répond :
– Mais oui, chérie, voilà.
Le garçon de café arrive, ramasse la monnaie et demande si la bière était bonne.
– Mais oui, excellente !
– Oh, répond le garçon, mais il y a une fourmi à côté de votre verre ! Excusez-moi pour la table !
« Tiens, sale bête », dit-il en l’écrasant de son chiffon….
Comparaison de la prison et du travail
La prison : On passe tout son temps dans une cellule de 8 mètres par 10.
Le travail : On passe tout son temps dans un espace de 6 mètres par 8.
La prison : On bénéficie de trois repas par jour.
Le travail : On a un repas par jour et il faut le payer.
La prison : Quelqu’un ouvre et ferme la porte pour vous.
Le travail : Il faut le faire soi-même.
La prison : On regarde la télé et on joue aux cartes.
Le travail : On se fait virer pour avoir regardé la télé ou joué aux cartes.
La prison : Vous bénéficiez de W-C prives.
Le travail : Il faut partager.
La prison : On vous autorise à recevoir des visites de votre famille et de vos amis.
Le travail : On vous refuse le droit de recevoir des visites de votre famille et de vos amis.
La prison : Le séjour est intégralement finance par ceux qui paient des impôts.
Le travail : C’est justement la qu’on trouve ceux qui paient des impôts.
La prison : On passe l’essentiel de son temps à regarder par la fenêtre en attendant de sortir.
Le travail : On passe l’essentiel de son temps à regarder par la fenêtre en attendant de sortir.
La prison : On a le temps de lire des blagues idiotes.
Le travail : On se fait virer si on est pris.
La prison : On est entoure de surveillants sadiques.
Le travail : On les appelle des chefs de service.
Les condamnés à mort de la révolution française
Ça se passe pendant la révolution française. Trois prisonniers un français, un belge, et un suisse ont été jugés coupables de crimes abominables. Ce qui leur vaut à tous les trois la peine de mort.
Le jour de l’exécution ils s’avancent chacun leur tour devant le gibet où ils seront décapités. Le français est le premier à s’avancer :
– Rien à déclarer ? demande le bourreau
– Non, répond le français de toute sa hauteur, Dieu fera un miracle pour me sauver car il sait que je suis innocent.
Le bourreau, qui en a entendu d’autres, lui passe la tête dans la guillotine, abaisse le levier et… Oh miracle ! Le couperet s’arrête à deux centimètres du cou du condamné. Étant donné qu’il s’agit d’un événement extraordinaire, ce dernier est gracié.
Vient le tour du belge. Même question du bourreau :
– Rien à déclarer ?
– Non, répond celui-ci, car je sais que pour moi aussi Dieu fera un miracle.
Le bourreau, qui commence sérieusement à douter de son choix de carrière lui glisse la tête dans la guillotine, abaisse le levier… Et le même scénario se produit : le couperet stoppe net à deux centimètres du cou du condamné. À l’exemple du précédent, celui-ci est aussi gracié.
S’avance enfin le suisse :
– Rien à déclarer ? lui demande le bourreau qui trouvait que sa journée allait vraiment mal.
– Et bien oui, répond le suisse. Je voulais juste vous dire qu’il y a un gros nœud dans la corde qui retient votre gros couperet…