C’est un blanc et un noir qui sont au tribunal, et qui attendent la sentence. Le verdict tombe : ils prennent 20 ans de trou… les boules… !
Comme ils se retrouvent dans la même cellule, une fois dans les murs, ils s’entendent pour se satisfaire mutuellement, sexuellement parlant. Et voilà le deal : chaque soir, ils tireront à pile ou face, et le perdant fera la femme.
Bon. Le premier soir arrive : La pièce est jetée, c’est le blanc qui gagne. Le black tombe donc son ben, se penche en avant, et attend.
Comme il ne se passe rien, il se retourne et voit le blanc qui s’astique le sexe avec un liquide blanc, gélatineux… bizarre !
Il demande des explications, et le blanc lui répond : – C’est de la vaseline, c’est pour que t’aies moins mal au cul.
Bon, bref, il se fait emmancher sévère. Les 3 jours suivants, le même scénario se reproduit : le blanc a vraiment du pot, et le black commence à choper les boules.
Enfin, le cinquième jour, c’est le black qui gagne. La mort dans l’âme, le blanc dégrafe son fut’, se penche en avant et attend.
Au bout de trente secondes, il se retourne et voit le black qui s’enduit le sexe d’un liquide vert fluo.
Il lui demande ce que c’est et le black lui répond : – C’est du Vicks, c’est pour que t’aies pas mal à la gorge.
Un vieillard qui vivait seul en Idaho, voulait semer ses patates au jardin, mais c’était un travail très pénible, car il lui fallait retourner toute la terre. Bubba, son fils unique qui habituellement l’aidait pour cette tâche était en prison. Le vieil homme écrit donc une lettre à son fils dans laquelle il décrit sa situation difficile :
« Cher Bubba,
Je me sens très malheureux, parce qu’il me semble bien que cette année, je ne serai pas capable de planter mes patates au jardin. Je suis trop vieux pour pouvoir creuser et retourner la terre du carré de jardin. Si tu étais ici, tous mes problèmes seraient résolus. Je sais que tu creuserais et retournerais la terre du carré pour moi.
Avec amour, Papa »
Quelques jours plus tard, il reçut une lettre de son fils :
« Cher papa,
Pour l’amour du ciel, papa, ne creuse pas dans le jardin, c’est là que j’ai enterré les corps.
Avec amour, Bubba »
À quatre heure le matin suivant, une nuée d’agents du FBI et de la police locale arrivèrent et se mirent à creuser tout le carré du jardin sans trouver aucun cadavre. Dépités, ils s’excusèrent auprès du vieillard et quittèrent les lieux.
Le même jour, le vieil homme reçut une autre lettre de son fils :
« Cher Papa,
Vas-y, maintenant, tu peux planter tes patates. C’est le mieux que je puisse faire dans les circonstances.
Avec amour, Bubba »