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La blague du prix de la mariée

Après quelques années de vie commune, un jeune homme décide de se marier avec sa petite amie.

Comme il n’est pas du tout au courant des traditions, à la fin de la messe, il s’approche du curé et lui demande :
– Excusez-moi mon Père, je sais qu’il est dans la tradition que les jeunes mariés fassent une offrande au prêtre qui a célébré le mariage, mais je ne sais pas ce que les gens donnent en général.

Le prêtre lui répond dans le creux de l’oreille
– En général, c’est en fonction de la beauté de la mariée. Plus elle est belle, plus la somme est élevée.

A ces mots, le jeune marié se tourne vers sa femme. Il hésite quelques instants, plonge la main dans sa poche et tend une pièce de 20 centimes au curé.

Le prêtre, compatissant, lui dit :
– Ne bougez pas, je vais vous rendre la monnaie…

La nonne gelée

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Un prêtre et une nonne sont dans une tempête de neige. Après un moment, ils trouvent une petite cabane. Exténués, ils se préparent à dormir. Il y a une pile de couvertures et un duvet sur le sol, mais seulement un lit.

Gentleman, le prêtre dit : « Ma sœur, vous dormirez dans le lit, et je dormirai sur le sol, dans le duvet. »

Alors qu’il venait juste de fermer son duvet, et commençait à s’endormir, la nonne dit : « Mon père, j’ai froid ». Il ouvre la fermeture de son duvet, se lève, prend une couverture et la pose sur elle.

De nouveau, il s’installe dans le duvet, le ferme et se laisse sombrer dans le sommeil, quand la nonne dit encore : « Mon père, j’ai toujours très froid ». Il se lève à nouveau, met une autre couverture sur elle et retourne se coucher.

Juste au moment où il ferme les yeux, elle dit : « Mon père, j’ai siiiiii froid ». Cette fois, il reste couché et dit : « Ma sœur, j’ai une idée : nous sommes ici au milieu de nulle part, et personne ne saura jamais ce qui s’est passé. Faisons comme si nous étions mariés ».

Enfin exaucée, la nonne répond : « Oui, c’est d’accord ».

Et le prêtre crie : « Alors tu lèves ton cul et tu prends toi-même ta putain de couverture, conasse ! »

La blague de la nudité religieuse

Un pasteur protestant, un prêtre et un rabbin décident d’aller faire une ballade par un beau dimanche d’été. Il fait très très chaud et les trois amis sont épuisés et en sueur lorsqu’ils arrivent sur les berges d’un petit lac aux eaux claires.

L’endroit étant vraiment retiré de tout, ils n’hésitent pas une seule seconde et retirent tous leurs vêtements avant d’aller « piquer une tête » dans le lac.

S’étant bien rafraîchi, le trio sort de l’eau et entreprend de ramasser quelques myrtilles, toujours en tenue d’Adam… Seulement, alors qu’ils arrivent dans une clairière, ils tombent nez à nez avec un groupe d’une dizaine de dames qui visiblement avaient choisi cet endroit comme lieu de randonnée.

Sachant qu’il leur est impossible de retrouver leurs vêtements à temps, le pasteur et le prêtre cachent tant bien que mal leurs « parties » derrière leurs mains. Le rabbin, par contre, se sert de ses mains pour se cacher la face !

Après que les dames aient quitté les lieux et que les trois amis se soient rhabillés, le pasteur et le prêtre s’enquièrent de la réaction de leur confrère rabbin : « Pourquoi s’est-il caché le visage, plutôt que ses organes génitaux ? »

Et là le rabbin leur répond :
« Mes amis, je ne sais pas comment ça se passe chez vous, mais dans ma congrégation, c’est mon visage que les fidèles risqueraient de reconnaître… »

La confession de la classe

C’est le jour de confession pour toute une classe

Le premier élève va voir le curé. Le curé lui demande :
– Hé bien mon petit, as-tu pêché ?
L’élève ennuyé lui répond :
– Oui mon père, j’ai jeté du pain à l’eau…

Le deuxième élève arrive et dit au curé :
– Mon père, je voudrais me confesser car j’ai jeté du pain à l’eau…

Le troisième, le quatrième puis l’avant-dernier de la classe arrivent et tous disent avoir jeté du pain à l’eau. Le prêtre ne comprend pas.

Enfin le dernier élève arrive. Le curé lui demande :
– Alors mon petit, toi aussi tu as jeté du pain à l’eau ?

L’élève lui répond :
– Mais mon père comment vous saviez que je m’appelle Dupain ?

La blague des clés du paradis (2)

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C’était du temps où l’eau courante n’existait pas, du temps où pour prendre le bain il fallait remplir la baignoire d’eau chauffée sur le poêle.

Et justement, aujourd’hui, c’était le jour où le Père Soreille prenait son bain. Comme toujours, une des soeurs de la communauté lui avait préparé l’eau chaude et les serviettes. Pour cette fois, c’était Soeur Marie, une toute nouvelle qui devait aider le Père dans ses ablutions.

La mère supérieure avait prévenu soeur Marie : Autant que faire se peut, il ne faut pas regarder le Père Soreille lorsqu’il est tout nu, et aussi, il faut faire ce que demande le Père Soreille et prier…

Le lendemain matin, la Mère supérieure croise la jeune soeur Marie sous le préau du couvent, et elle lui demande comment s’est passé le bain du Père Soreille. La jeune novice répond béatement :
– Oh ma Soeur, merveilleusement bien: j’ai obtenu le salut de mon âme !
– Le salut ?! Comment cela ?
– Eh bien, pendant que le Père Soreille se baignait, il m’a demandé de le laver. Puis pendant que je le lavais, il a guidé ma main entre ses deux jambes, là où, a-t-il dit, le Seigneur garde les Clés du Paradis…
– Vraiment, répond la Mère supérieur incrédule

Et Soeur Marie continue :
– Puis le Père Soreille a dit que si la clé du Paradis ouvrait ma serrure à moi, alors la porte du Paradis me serait ouverte à jamais, et je serai assurée du salut et de la paix éternelle… Et à ce moment là, le Père Soreille a introduit sa clé du Paradis dans ma serrure.
– Ah oui ? Relance la Mère Supérieure un peu agacée.
– Oui. D’abord, ça fait très très mal, mais le Père Soreille m’a dit que le chemin du Salut était souvent pénible, mais que la Gloire de Dieu remplirai bientôt mon coeur d’extase. Et c’est ce qui s’est passé effectivement. Ça a été l’extase tout de suite après. C’est pour ça que je dis que j’ai obtenu le salut de mon âme.

Alors la vieille soupire :
– Ha, quel menteur et pervers avec ça… Il m’a dit à moi que c’était la Trompette de l’Archange Gabriel, et j’ai soufflé dedans pendant 40 ans !