blague prêt
La blague du monopole de Rothschild
Un juif immigre à New-York et s’installe à Manhattan à côté de la banque Rothschild. Besogneux et bon commerçant, il confectionne des cornets de frites, et sa petite boutique prospère gentiment.
Ses amis, naturellement se rappellent à son bon souvenir, et l’un d’eux lui demande :
– Je sais que tes affaires marchent bien, cela ne te gênerait certainement pas de me prêter un peu d’argent, mes affaires ne vont pas très bien.
Et le petit commerçant répond :
– Ah là là, mais je ne peux pas, j’aurais bien voulu mais… Vois-tu, je vais te faire une confidence, lorsque je me suis installé ici, j’ai passé un accord avec Rothschild : je ne fais pas de prêt, et eux ne vendent pas de frites.
L’argent, ça file…
Deux amis se retrouvent pour prendre un pot :
– Tu sais que tu me dois toujours de l’argent que je t’ai prêté il y a six mois ?
– J’ai plus un sou !
– Tu n’es vraiment pas raisonnable… tu dépenses trop !
– Non je t’assure ! Tu n’as rien compris ! Ce n’est pas que je dépense plus que je ne gagne, le problème c’est que je ne gagne pas aussi vite que je dépense !