blague prénoms
Le prénom de mon beau-frère
Les perles : la justice
L’avocat interroge :
– Quel est le nom de votre beau-frère ?
– Minttkievitch.
– Et quel est son prénom ?
– Je ne m’en souviens pas.
– Ce garçon est votre beau-frère depuis plusieurs années et vous ne vous souvenez pas de son prénom ?
– Non, je viens de vous le dire. Je suis trop excité… (et se tournant vers Monsieur Minttkievitch.) : Robert, Nom de Dieu, dis-leur quel est ton prénom !
L’entretien d’embauche de la blonde
C’est une blonde qui se présente à un entretien d’embauche pour une place de responsable du vestiaire d’un grand restaurant.
Le recruteur décide de commencer par la base. Après tout, ce n’est pas un ministre qu’il recrute :
– Bonjour mademoiselle. Pouvez-vous me donner votre âge ?
La blonde compte alors sur ses doigts, et finit par répondre :
– Euh … 22 !
Le recruteur tente alors une deuxième question :
– Et pouvez-vous me donner votre taille ?
La blonde se lève alors et prend un double décimètre qui traînait sur le bureau du recruteur, et elle essaie tant bien que mal de se mesurer… Naturellement, elle se mélange dans les mesures et annonce un « un mètre cinquante sept » alors qu’elle doit faire plus d’un mètre soixante dix.
Voyant les difficultés de la demoiselle, le recruteur insiste :
– Pourriez-vous me donner votre prénom ?
La blonde commence alors à bouger sa tête de gauche à droite et réciproquement pendant une dizaine de secondes, en remuant les lèvres mais sans émettre un son… puis finalement elle dit « Vanessa ».
Le recruteur est assez curieux de savoir ce que faisait la blonde avant de donner son prénom et il lui demande :
– Écoutez, je peux comprendre que vous soyez obligée de compter sur vos doigts pour donner votre âge, je peux aussi comprendre que vous ne reteniez pas votre taille, mais j’aimerai vraiment savoir ce que vous faisiez avant de me répondre que vous vous prénommiez « Vanessa » ?
– Ohhh ça ?…, c’était juste pour me rappeler les paroles « Joyeux anniversaire, joyeux anniversaire… »
Pour échapper au pangermanisme
Berlin 1934. Hitler est au pouvoir et applique ses théories pangermanistes.
Un homme se présente au bureau d’état-civil, et s’adresse affolé au fonctionnaire :
– Monsieur, il faut que je change de nom, vite.
– Bien, voici les conditions (formalités, prix, délai)… Alors Monsieur, quel est votre nom actuel ?
– Adolf Blumensteinovitchthal.
– Ah oui, effectivement, je comprends… et comment souhaiteriez-vous vous appeler ?
– David Blumensteinovitchthal…