Je me souviens, c’était il y a 20 ans. Pour la première fois, nous allions faire l’amour, avec celle qui allait être ma femme. Je me souviens d’elle, assise au bord du lit, me voyant sortir de la salle de bain et s’écrier : – Oh là là, elle est beaucoup trop grosse…
Maintenant, quand je rentre dans la chambre, c’est moi qui dit : – Oh là là, elle est beaucoup trop grosse…
Dans une famille de paysans, le père dit à son fils, jeune marié, avant la nuit de noces : – Ecoute, si jamais tu as des problèmes tu peux toujours m’appeler !
Dans la nuit, alors que les jeunes mariés essayent de faire l’amour, la jeune femme devient nerveuse et s’approche du marié qui recule… et tombe par la fenêtre sur le tas de fumier.
A ce moment-là, il se souvient du conseil de son père et s’écrie : – Papa ! Papa !
Le père lui répond, de sa chambre : – Qu’est-ce qu’il y a, fiston ? – Papa, je suis dans la merde !
La Raymonde, sa mère, lui fait la leçon en ce qui concerne la nuit de noces : – Y va t’mettre son… truc, là, son… engin… – Son quoi !? – Son truc qui lui sert à faire pipi, tu sais bien ! – Ah oui, et alors ? – Alors, au début ça fait mal, mais après on rigole ben, tu vas voir !
Arrive la nuit de noce. Le gars Georges et la Fernande se retrouvent au lit, mais le gars Georges, il a pas l’air de prendre les choses en main…! Alors la Fernande : – Eh l’gars Georges ! j’veux que tu m’fasses mal avec ton truc qui t’sert à faire pipi !
Alors l’gars Georges, il prend le pot de chambre et lui en fout un grand coup sur la tête.
Après avoir fait pour la première fois l’amour avec sa cousine, de trois ans plus âgée que lui, un jeune garçon semble soucieux : – Tu n’es donc pas content ? lui demande, un peu étonnée, son initiatrice. – Si, si, bien sûr, répond-il, mais, pour faire cela, j’ai séché le collège. Et je me dis que, si ça se trouve, les autres ont appris des choses intéressantes, au cours d’éducation sexuelle.
C’est un monsieur très bien, très chic, qui a plutôt bien réussi dans la vie. Mais il est désespéré, parce qu’il a un fils d’une trentaine d’années qui est resté un vrai benêt. Il est tellement niais sur le plan sexuel qu’il n’y connaît rien, il n’a même jamais vu une femme déshabillée. Alors un jour, ce monsieur très chic se dit : – Je ne peux vraiment pas laisser mon fils dans cet état-là ! Bon, je prends la Bentley et je l’emmène au claque. Allez viens, mon fils ! – Hum, où c’est qu’on va, papa ? – Ecoute, suis-moi et ne pose pas de questions !
Cinq minutes après ils arrivent rue Saint-Denis, et le monsieur très chic aborde une prostituée: – Bonjour, mademoiselle ! Vous me reconnaissez ? – Ouais, c’est pourquoi ? – Je vous ai amené mon fils parce qu’il a trente ans et qu’il serait temps de faire son initiation. Vous ne pourriez pas vous en charger ? Mais alors soyez gentille avec lui, parce que vous allez voir, il ne sait vraiment pas comment ça se passe… – On a l’habitude ! Allez suis-moi, toi !
Le fils monte avec elle dans la chambre et elle lui fait : – Bon, tu as déjà vu une femme de près ? Déshabillée, tout ça ? – Hum ! Oh oui, à la télé ! Chez Dorothée ! – Bon alors écoute, on va commencer par le tout début: je me déshabille, tu te déshabilles, et on s’allonge sur le lit. – D’accord !
Le temps de plier ses vêtements, le garçon vient se coucher à côté de la prostituée qui lui demande : – Alors bon, qu’est-ce que tu en penses ? – Ben, hum, il fait froid ! On ne pourrait pas se rhabiller ? – Non, on va rester comme ça ! Comment tu me trouves ? Quel effet ça te fait, une femme à poil, tu trouves ça bien ? – Hum, bah je sais pas… – Bon, on va commencer par la bouche… C’est bien, la bouche, parce qu’on peut faire des tas de trucs avec, on peut s’embrasser… Et puis tout, je t’expliquerai. Bon alors maintenant, tu vois, ça c’est mes seins ! – Hum… – C’est bien, les seins d’une femme, parce que tu vois, c’est chaud, c’est doux. Et on peut faire des tas de choses avec. – Hum, oui madame ! – Et alors ça, c’est mon nombril… – Hum, moi aussi j’en ai un ! – Oui, tu en as un aussi. On a tous des nombrils. On peut pas faire grand-chose avec, mais enfin c’est mon nombril. Alors là, c’est le principal, c’est l’essentiel… Là, on peut tout faire, tout ! Alors vas-y, tu peux toucher ! – Je peux ? – Oui, vas-y ! Tu peux y mettre un doigt, par exemple ! – Hum ! – Bon alors, ça va ? Tu vois, ça ne fait pas mal ! Maintenant, tu peux mettre deux doigts… – Ah pourquoi, ça siffle ?