blague pourboire

Le racket de l’aéroport

A l’aéroport, l’alarme du détecteur de métaux se déclencha au passage d’un voyageur. Le préposé à la sécurité lui demanda s’il avait des pièces de monnaie sur lui.
– Décidément, protesta-t-il en se tournant vers sa femme, il faut laisser un pourboire partout…

Les pourboires au vestiaires

– Moi, dit un monsieur, je donne 20 euros de pourboire à la dame du vestiaire, au moment où je lui confie mon manteau. Je ne gagne pas à tous les coups, mais, la plupart du temps, ça marche : quand je viens le reprendre elle me tend un vêtement beaucoup plus beau que celui que je lui ai laissé deux heures avant.

Le pourboire du mari

Une jeune mariée confie ses tourments à sa mère :
– Mon mari est très distrait. Hier, après avoir déjeuné à la maison, il m’a laissé cinq euros de pourboire. Et il m’a encore donné deux euros quand je lui ai tendu son attaché-case.
– Ce n’est rien. Simplement l’habitude de manger au restaurant.
– Bien sûr, maman. Mais ce qui m’inquiète, c’est la façon dont il m’a embrassée pendant que je l’aidais à enfiler son pardessus.

Le pourboire des pompiers

Le téléphone sonne dans l’appartement où est donnée une petite soirée. L’hôtesse prend la communication.
– C’était la baby-sitter qui garde vos deux enfants, dit-elle à un couple d’invités. Elle demandait combien on doit donner de pourboire aux pompiers, après leur intervention. Je lui ai dit qu’un billet de 10 euros et un bon coup de bordeaux à chacun, ça me paraissait bien suffisant.

La nuit de noce du garçon timide

Un garçon, très timide, donne un bon pourboire à la bonne de l’hôtel où sa femme et lui sont en voyage de noces. Et il lui recommande :
– Soyez gentille. Ne dites à personne que nous sommes jeunes mariés.
– Entendu, répond la domestique.

Ils gagnent leur chambre et mènent, toute la nuit, une folle sarabande. Le lendemain matin, une dame, qui occupe la chambre voisine de la leur, questionne discrètement la bonne :
– Ce sont des jeunes mariés, n’est-ce pas ?
– Oh ! Non ! Madame, proteste la bonne. Ils se connaissent à peine.