blague poulailler

Un élu blesse un adolescent

Un élu blesse un adolescent en tirant sur un chat qui menaçait son poulailler.

dessin des moutons noirs sur l'élu qui a blessé un adolescent en tirant sur un chat
7 mars 2018 – Un élu blesse un adolescent

Émilie : « Wolverine ? T’as quelque chose à dire ? »
Wolverine : « J’avais la dalle ! C’est quand même pas de ma faute si il tire comme une buse ! »
(Dessin des Moutons Noirs du 7 mars 2018)

Dans la famille Amoureuxdeschats je voudrais le père !

Lundi matin, peu après 7 heures, le maire d’un petit village Charentais repère un chat qui s’approche de son poulailler.

Jeter de l’eau sur la bête pour la faire fuir ? Frapper dans ses mains en espérant qu’elle ait peur du bruit ? Faire « Pchiiiiiiiiit » avec sa bouche ?

Non tout ça c’est pour les faibles ! Ici on règle ses problèmes en sortant le 22 long rifle !

L’élu de 57 ans, va donc chercher son jouet et tire sur le fauve. Apparemment le chat va bien. L’adolescent de 14 ans qui attendait son bus et qui s’est retrouvé sur la trajectoire de la balle, un peu moins.

Blessé à la tête, le collégien a été transporté au CHU de Bordeaux et ses jours ne sont pas en danger.

Le maire du village lui, a été mis en examen.

Les vêtements du coq

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Le véto en arrivant dans la ferme remarque le coq de la basse-cour qui porte un pantalon rouge, une chemise blanche et des bretelles.

S’adressant au fermier, il demande goguenard :
– Alors, vous avez peur qu’il ait froid ?

Le fermier lui répond :
– Ben, c’est presque ça, au départ en tout cas. En fait, c’est parce qu’on a eu le feu dans le poulailler et toutes les plumes du coq ont cramé. Alors ma femme lui a tricoté des vêtements à sa taille. Maintenant, je vais vous dire : il n’y a rien de plus drôle que de le regarder essayer de maintenir une poule avec une patte pendant qu’il tente de baisser son pantalon de l’autre.

Se prendre pour un ver de terre

C’est un fou qui s’en vient trouver le directeur de l’asile :
– Docteur, je suis guéri : je ne me prends plus pour un ver de terre. J’aimerai quitter cet endroit maintenant.

Le médecin chef lui répond :
– Je ne demande qu’à vous croire, et je serai vraiment très heureux de confirmer que vous êtes effectivement guéri. Mais pour affirmer cela, il va falloir faire le test du poulailler : dès demain vous m’accompagnerez dans le poulailler de la ferme d’à côté et si vous passez ce test, vous pourrez sortir dans la journée.
– Impossible, répond le fou. Je n’ai aucune envie de me faire manger tout cru !
– Mais, vous me disiez ne plus être un ver de terre ? Interroge le docteur.
– C’est vrai… Mais les poules, elles, elles ne le savent pas !