Les ruches connaissent ce printemps une mortalité impressionnante à cause de l’utilisation des néonicotinoïdes : une fois appliqués sur les cultures, ils pénètrent dans les plantes et les rendent toxiques. Les néonicotinoïdes interdits en 2016 ? (Dessin du 5 mai 2015)
« Ci-gît ma femme, grâce à Dieu Cette furie perpétuelle Empoisonna ma vie. Passant, écoute mon avis : Avant qu’elle ne te querelle, Quitte prudemment ces lieux. »
C’est une femme qui est à l’article de la mort. Son mari lui tient la main, près du lit. Le mari a des larmes qui coulent doucement le long de ses joues. Bref, c’est triste. La femme essaie de parler : « Chéri… »
Le mari l’interrompt : « Chut. Ne parle pas. »
Mais la femme insiste de sa voix fatiguée et chevrotante : « Chéri, laisse-moi parler. Je dois t’avouer quelque chose… »
Le mari, tout en sanglots : « Tu n’as rien à avouer. Tout va bien. »
La femme : « Non tout ne va pas bien. Il faut que je t’avoue une chose sinon je ne pourrai pas mourir en paix : je t’ai trompé ! »
Le mari alors lui sert la main avec affection et répond : « Ne te préoccupe pas de ça. Je suis au courant. Pourquoi t’aurais-je empoisonnée sinon ? »
Dans une république africaine, un fonctionnaire dit à un collègue : – Excuse-moi de te faire cette réflexion, mais ta belle-mère a vraiment une langue de vipère. – Allons, ricane le gendre, tu exagères.
À ce moment, un grand guerrier noir entre dans le bungalow : – Je voulais, explique-t-il, demander à la dame de me donner encore un peu de sa salive pour empoisonner mes flèches.