blague poison

Le mari à l’hôpital

– Tout va bien, mon chéri, dit une jeune femme, venue rendre visite à son mari qui se tord de douleur sur son lit d’hôpital. Le médecin-chef affirme que ton indisposition est tout à fait bénigne. Mais il a conseillé à maman que je ne me remarie pas avant d’avoir fait l’achat d’un bon livre de cuisine.

Des champignons testés et approuvés

Un monsieur, qui rentre chez lui, après sa journée de travail, entend sa femme qui appelle :
– Allô ! maman. Tu peux manger les champignons que papa a ramassés, hier, au cours de votre promenade en forêt. J’en ai servi une grande plâtrée à Philippe, à midi, et apparemment, à voir avec quelle ardeur il vient de m’embrasser, il les a très bien digérés.

La pitié de l’empoisonneuse de mari

Une dame qui, après 30 ans de vie commune, a empoisonné son mari en mettant de l’arsenic dans son café est interrogée par le procureur lors de son procès :
« Mais enfin madame, lorsque vous avez commis votre crime, vous n’avez à aucun moment éprouvé une quelconque pitié pour votre mari ? »

L’accusée lui répond :
« En fait, si. Quand il m’a demandé de lui resservir une tasse. »

L’empoisonneuse de maris

C’est une femme qui passe aux Assises parce qu’elle a empoisonné son mari. Le procureur de la République tend vers elle un doigt accusateur et lui dit :
– Madame, votre acte était prémédité !
– Comment ? Quoi ?
– Vous avez fait exprès !
– C’est vite dit…
– Oui, c’était un crime prémédité ! D’ailleurs, dans la soupe de votre mari, il y avait quatre doses de poison. De quoi tuer quatre personnes normales !
– Mais c’est la faute de ce grand cochon, monsieur le procureur ! Qu’est-ce que vous voulez qu’ j’y fasse, il a toujours bouffé comme quatre !