blague piteuse

Le p’tit de l’embouteillage

Un type rentre chez lui en piteux état : le bras dans le plâtre, un bandage autour de la tête, deux dents en moins, un œil au beurre noir…
– Qu’est-ce qui t’est arrivé ? demande sa femme, affolée.
– C’était dans les embouteillages, répond le type. J’ai cru qu’un petit nabot m’avait fait une queue de poisson.
– Et alors ?
– Alors c’était pas un petit nabot…

La blague de la prostitution Suisse

Un voyageur de commerce français se retrouve seul à Genève pour une soirée. Il dîne à son hôtel puis décide d’aller faire un tour. C’est ainsi qu’il se retrouve dans le quartier réservé. Avisant une accueillante maison ornée d’une lanterne rouge, il entre, fait la connaissance d’une charmante demoiselle fort peu vêtue et monte avec elle dans sa chambre.

Quelques secondes plus tard, on entend la jeune femme crier :
– Pas ça ! Tout, mais pas ça !

L’instant suivant, elle fait irruption dans le salon, entièrement nue, poursuivie par le voyageur de commerce français qui reboutonne piteusement son pantalon.
– Quelle horreur ! fait la jeune femme. Quelle horreur !
– Mais que s’est-il passé ? demande la mère maquerelle.
– Il a voulu me payer avec des euros !

Le mari brimé

Un mari brimé téléphone à la conseillère conjugale d’une radio :
– Ma femme, explique-t-il, est un véritable tyran. Elle ne me laisse aucune initiative et me traite comme un véritable domestique.
– Réagissez, lui dit la conseillère, montrez les dents !

Le lendemain, il la rappelle :
– Alors, questionne-t-elle, vous avez montré les dents ?
– Oui, répond-il piteusement, et, maintenant, j’en ai deux de moins.

La tempête du repas

À peine le paquebot de croisière eut-il quitté le port qu’une forte tempête se déchaîna. Le soir, les douze passagers qui devaient prendre leur repas à la table du commandant, arrivèrent dans la salle à manger dans un piteux état. L’officier leur souhaita la bienvenue en ces termes, alors que tanguait toujours le navire :
– J’espère que les douze personnes ici présentes feront une agréable traversée et je suis heureux de voir autour de moi ces onze visages sympathiques… Nous dînerons donc ensemble tous les huit pendant la durée du voyage… et puisque nous sommes quatre nous pourrons faire un bridge après le repas… Ensuite, je propose que tous les deux nous allions prendre un whisky dans ma cabine… Maître d’hôtel ! Vous pouvez desservir ! J’ai horreur de dîner seul !