blague pied-noir

Le tri des rats

Ben Soussan vient d’être engagé dans un laboratoire. Son premier travail est simple, puisqu’il consiste à trier un lot de rats devant servir à des expériences, en séparant les mâles des femelles.

Ben Soussan se met au travail, puis vient l’heure de la sieste, et il s’installe dans un coin pour faire un somme. C’est à ce moment-là que le directeur du laboratoire survient.

À sa grande stupeur, il s’aperçoit que Ben Soussan a rempli trois cages : une de mâles, une de femelles et la troisième – dans laquelle sont enfermés le plus grand nombre de rats – portant l’écriteau « pieds-noirs ».
– Qu’est-ce que ça veut dire ? hurle le directeur en réveillant Ben Soussan.
– Eh ben, j’ai séparé les mâles des femelles, professeur. Comme vous me l’aviez demandé…
– Et ces « pieds-noirs », qu’est-ce que c’est ?
– Ça ? Oh, ce sont les rats pas triés.

Un pied-noir à Oxford

C’est un juif tunisien qui en a marre que son fils ait un putain d’accent pied noir à couper au couteau que c’est pas bon pour son avenir et qui l’envoie à Oxford pour apprendre bien tout comme il faut avec la manière que même les manuels de comment qui faut vivre, à la vérité, ils savaient pas que c’était possible.

Au bout d’un mois, il va voir le doyen de l’université d’Oxford avec la panoplie complète : la chemise, l’attâchécâz, la gourmette, la dent de sanglier sur la moquette et les dents de devant que plus brillant, c’est que t’as pas mis les lunettes de soudeurs pour regarder :
– Alors Monsieur le Doyen, il travaille bien mon fils ?

Et l’autre :
– Pohpohpoh, comment qu’il apprend vite ! La vie d’ma mère, même le prôfesseur de français qu’on vous a dit qu’il allait viendre, jamais il a pensé que çà, un jour ça pouvait que çà y est !

La blague du drôle de couscous

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Un jeune pied-noir dont la femme est enceinte de huit mois fait son service militaire. Il téléphone à son épouse et lui dit :
– Dès que tu auras accouché, envoie-moi un télégramme. Mais surtout ne le rédige pas en clair, sinon toute la compagnie serait au courant, et je me ruinerais à leur offrir à boire. Tu n’auras qu’à mettre : « Viens vite, j’ai préparé un couscous. » Je comprendrai…

Un mois plus tard il reçoit le télégramme suivant :
« Viens vite, j’ai préparé trois couscous dont deux avec merguez. »