blague peur
Le coup de klaxon qui fait peur
Dans un cocktail, un invité sursaute brusquement.
– Pourquoi vous agitez-vous comme cela ? Lui dit gentiment la maîtresse de maison. Ce n’est qu’un coup d’avertisseur.
– C’est que, répond le monsieur, voilà quinze jours que ma femme s’est fait enlever, sous mes yeux, par un automobiliste. Et, depuis, à chaque fois que j’entends klaxonner, j’ai peur qu’il ne me la ramène.
La paysanne accroupie et son mari désireux

En plein campagne, dans le département du Cantal, une paysanne est accroupie en train de battre son linge au lavoir quand son agriculteur de mari vient à passer par là. Et voyant la croupe de sa femme remuer au rythme du battoir, il se dit : « Ah nom de Diou de nom de Diou ! Dans la main droite elle a le battoir, dans la main gauche elle a le linge et le savon… Elle pourra point s’défendre. »
Hop il lui retrousse les jupes… et fait sa petite affaire… Et sa brave femme est tellement occupée par sa lessive qu’elle ne réagit même pas. Alors le paysan se relève, reboutonne son pantalon, puis il lui tape sur l’épaule. Là, la femme se retourne en sursautant et lui dit :
– Ah c’est toi, tu m’as fait une de ces peurs !
Un accidenté qui se sent merveilleusement bien

Les perles : la justice
Ce qui suit est un échange au tribunal entre l’avocat de la défense et un fermier demandant un dédommagement pour blessures corporelles.
L’avocat :
– Sur le lieu de l’accident, avez-vous dit au policier que vous ne vous étiez jamais senti aussi bien de toute votre vie ?
– C’est exact.
– Alors, comment se fait-il que vous demandiez un dédommagement sous le prétexte que vous avez été sérieusement blessé quand le véhicule de mon client a heurté votre van ?
– Quand le policier est arrivé, il s’est dirigé vers mon cheval, qui avait une jambe cassée, et lui a tiré une balle dans la tête. Après il s’est dirigé vers Médor, mon chien, qui était à moitié écrabouillé, et lui a tiré une balle dans la tête. Quand il m’a demandé comment je me sentais, j’ai pensé que compte tenu des circonstances, il était judicieux de dire que je ne m’étais jamais senti aussi bien de toute ma vie…