blague paysans

L’anniversaire du centenaire

Dans un petit village, on fête un centenaire. Fier et heureux, le maire s’adresse à lui :
– Grand-père, toutes mes félicitations. Et l’année prochaine, j’espère que je pourrai fêter votre cent et unième anniversaire.

Alors le centenaire le scrute attentivement, puis lui dit :
– Pourquoi pas ? Vous n’avez pas l’air en mauvaise santé…

Le technocrate à la ferme

Un technocrate de Bruxelles passe ses vacances dans une ferme.

Le premier jour, le fermier lui demande de vider le tas de fumier du fond de la cour et de l’épandre sur le champ derrière la ferme … Lorsque le fermier revient le soir, le travail est fait, au grand étonnement du fermier.

Le deuxième jour, le fermier lui fait trier des pommes de terre en lui demandant de faire un tas avec les petites, un tas avec les grosses et de jeter les pourries. Lorsque le fermier revient le soir, rien n’est fait, il voit le technocrate tenant une pomme de terre moyenne dans la main en train de se demander si elle est petite ou grosse …

Moralité :

Un technocrate, pour remuer la merde, c’est bien, mais quand il s’agit de prendre une décision …

Le concours des plus lourdes couilles

Vous connaissez l’histoire du maire de cette petite ville qui organise pour faire un peu d’animation, un grand concours de « Celui qui aura les plus lourdes couilles ». Il se verra décoré par le maire et en plus recevra en cadeau une belle dinde.

Les participants arrivent les uns après les autres, posent « leur matériel » sur un pèse-lettres, et le maire annonce : « Jules 120 grammes, le Maurice 140 grammes, le Tonin 80 grammes » etc…

Et puis arrive un énorme camion, semi- remorque, d’où descend un colosse qui porte un plateau sur lequel sont posés 2 beaux homards.

Le maire intrigué lui dit : « Mais ce n’est pas un concours de pêche ! »
« Je sais, » répond le colosse, « mais ça ce sont les morpions, les couilles sont dans la remorque… »

Le délinquant à la campagne

Un « jeune des cités » déjà jugé irrécupérable par la police est finalement expédié par ses parents chez un grand-oncle, agriculteur en Sologne.

Le premier jour, le grand-oncle lui montre les trucs basiques comme la basse-cour avec les poulets et les canards, mais aussi les vaches, la truie, etc…

Mais dès le deuxième jour, il apparaît évident que le neveu des villes se languit de sa cité… L’oncle n’étant pas né de la dernière pluie, il trouve très vite le moyen d’intéresser le jeune citadin :
– Dis donc fiston, qu’est-ce que tu dirais de prendre un fusil, d’emmener les chiens et d’aller tirer quelques cartouches ?

Le gamin enthousiaste et armé s’en va alors sur le chemin avec les chiens sur ses traces.

Quelques heures plus tard, il est de retour. Son grand tonton l’interroge :
– Alors, ça t’a plu ?
– Ouais, super ! Il te reste d’autres chiens ?

La mule qui avait tuée la belle-mère du fermier

C’est jour de deuil dans la ferme : la mule du fermier vient de tuer la belle-mère du dit fermier en lui balançant une bonne ruade au moment où elle passait.

Tous les fermiers des environs font le déplacement jusqu’à l’église. Le curé voyant la foule au dehors s’adresse à quelqu’un de la famille de la défunte :
« Elle devait être très appréciée ! Quand on voit le nombre de fermiers qui a quitté les champs pour assister aux funérailles… »

Et le gars de la famille répond :
« Ils ne sont pas ici pour les funérailles… Ils sont tous venus pour acheter la mule. »