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La blague du divorce automobile

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Un couple marié est en train de rouler tranquillement à 90km/h sur une départementale. L’homme conduit.

Soudain, la femme le regarde enfin et lui dit :
– Ecoute, nous sommes maries depuis 15 ans, mais je veux divorcer…

Le mari ne dit rien et se contente d’accélérer, 100 km/h.
– J’ai eu une aventure avec ton meilleur ami et il est bien meilleur amant que toi.

Encore une fois, le mari ne dit rien et se contente d’accélérer, 110 km/h.
– Je veux la maison et les enfants.

Le mari se contente d’accélérer, 120 km/h.
– Je veux aussi la voiture, le compte en banque et les cartes de crédit…

La voiture arrive près d’un mur et le mari encore une fois se contente d’accélérer, 130 km/h.
– Et toi, que veux-tu ?
– Rien, j’ai déjà tout ce dont j’ai besoin !
– Et c’est quoi ?

Le mari lui dit juste avant de percuter le mur à 130 :
– C’est moi qui ai l’airbag…

Le partage de l’amour

Un vieux couple entre lentement chez McDonald’s, par une froide soirée d’hiver. Ils se retrouvent attablés parmi un groupe de jeunes familles et de jeunes couples. Plusieurs clients les regardent avec admiration, se disant :
« Quelle belle image. Ce vieux couple a dû passer à travers bien des épreuves, depuis au moins 60 ans qu’ils sont ensemble. »

Le vieux monsieur se rend directement à la caisse, commande sans hésitation et paie le repas. Le vieux couple choisit alors une table et le vieux monsieur pose son plateau sur la table. Sur le plateau se trouvent un hamburger, un paquet de frites et un Coca-Cola.

Le monsieur déballe le hamburger et le coupe précisément en deux. Il en place une moitié devant son épouse. Ensuite il compte soigneusement les frites et en fait deux piles égales et en place une devant sa femme. Il prend une gorgée de Coca-Cola, sa femme en fait autant. Il place le Coca-Cola entre les deux. Quand l’homme commence à manger sa partie de hamburger, les autres clients se disent :
« Les pauvres, ils ne peuvent acheter qu’un seul repas pour eux deux. »

Quand le vieux monsieur commence à manger les frites, un jeune homme se lève et s’approche de leur table. Un peu gêné, il leur offre poliment de leur acheter un autre repas. Le monsieur lui dit que tout va bien et qu’ils sont habitués à tout partager. Puis les gens s’aperçoivent que la vieille dame n’a encore rien mangé. Elle reste assise, regardant son mari manger sa part en sirotant de temps à autre une gorgée de Coca-Cola. Encore une fois le jeune homme les supplie de le laisser leur acheter un autre repas. Cette fois c’est la vieille dame qui lui explique que ce n’est pas nécessaire, qu’ils sont habitués à tout partager.

Comme le vieux monsieur finit de manger et s’essuie la bouche, le jeune homme n’en peut plus. Il s’approche de leur table pour leur offrir encore une fois de la nourriture. Après qu’ils aient une fois de plus poliment refusé, il demande à la vieille dame :
– Madame, pourquoi ne mangez-vous pas ? Vous dites que vous partagez tout. Qu’attendez-vous ?
– J’attends les dents.

La blague de la pute coûteuse

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La « Madame » ouvrit la porte du bordel et vit un homme élégant, d’âge moyen.
– En quoi puis-je vous être utile ?
– Je souhaite voir Nathalie, répondit-il.
– Monsieur, Nathalie est l’une de nos dames les plus coûteuses, peut-être souhaitez-vous voir une autre fille ?
– Non merci, je dois voir Nathalie.

Nathalie apparut immédiatement pour lui expliquer qu’elle coûtait 1000 $ par visite. Sans discuter, l’homme donna dix billets de 100 $. Ils allèrent dans une chambre, et une heure plus tard, l’homme sortit tranquillement.

La nuit suivante, le même homme frappa à la porte et demanda de nouveau à voir Nathalie. Nathalie répondit qu’il était très rare que quelqu’un lui rende visite deux soirs de suite, mais qu’il ne pouvait pourtant pas obtenir de réduction. De nouveau, l’homme sortit dix billets de 100 $ de sa poche et les lui donna. En compagnie de la jeune femme, il se dirigea vers une chambre et en ressortit une heure plus tard.

Quand il apparut la troisième nuit, personne ne pouvait le croire. De nouveau, il donna 1000 $ à Nathalie et ils passèrent tous les deux dans une chambre. Une heure plus tard, quand il était sur le point de partir, Nathalie demanda à son fidèle client :
– Personne n’a fait usage de mes services trois nuits de suite. D’où êtes-vous ?
– De Philadelphie.
– Vraiment, j’ai de la famille à Philadelphie.
– Je sais. Votre père est décédé. Je suis l’avocat de vos soeurs. Ce sont elles qui m’ont demandé de vous remettre votre part de l’héritage, soit 3000 $…

La blague du jugement de Salomon

Deux femmes viennent demander son arbitrage au Grand Roi Salomon, réputé pour sa sagesse. Entre les deux femmes se tient un jeune homme en costume trois pièces.
– Ce jeune avocat est prêt à épouser ma fille, dit la première.
– Non ! Il est d’accord pour épouser MA fille ! Dit la seconde.

Et les deux femmes continuent à se chamailler devant le roi jusqu’à ce qu’il leur intime l’ordre de se taire.
– Apportez-moi ma grande épée de justice, dit Salomon, et je couperai le jeune avocat en deux. De cette manière, chacune d’entre vous recevra la moitié.
– Ça me semble être équitable, dit la première femme.

Mais l’autre femme répond :
– Oh Sire, ne versez pas le sang d’un innocent. Laissez la fille de l’autre femme épouser ce jeune homme.

Alors Salomon le sage n’hésita pas un seul moment :
– L’avocat doit épouser la fille de la première femme, proclame-t-il.

A l’énoncé de ce verdict, un brouhaha parcourt la cour du roi :
– Mais, sire, cette femme était prête à ce que vous coupiez le jeune homme en deux ! S’exclame une femme dans l’assemblée.
– Eh oui, répond Salomon, c’est bien la preuve que c’est elle la VRAIE belle-mère.

La blague de la machine à douleur

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Un homme conduit sa femme à la maternité car elle est sur le point d’accoucher. Le gynécologue leur dit qu’il a développé une machine qui permet au mari de partager avec sa femme la douleur de l’accouchement.

Ceci dans le but louable de montrer à l’homme qu’est-ce que c’est que la douleur, et pour permettre que la femme ait moins mal. Le gynécologue propose donc au couple d’essayer la machine, ce qu’ils acceptent.

L’accouchement commence, et le médecin donne, grâce à la machine, 20% de douleur au mari – en lui précisant que 20%, c’est déjà plus que n’importe quelle douleur qu’il a déjà pu ressentir – mais le mari est surpris car il ne sent quasiment rien.

Alors le médecin monte la peine ressentie par le mari à 50% (le mari ne bronche pas) puis à 100%…

Après que le bébé soit venu au monde, le mari se lève et s’étire. La femme est très reposée, n’ayant ressenti quasiment aucune douleur, et le mari pareil.

Ce n’est que deux jours plus tard, en rentrant chez eux, qu’ils apprirent que le postier était mort dans d’atroces douleurs en faisant sa tournée.