blague partage

L’innocence de l’avocat

– Je vous préviens, dit l’avocat à l’auteur d’un hold-up auquel il rend visite dans sa cellule : si vous ne me révélez pas où vous avez caché votre butin, pour qu’on le partage, moitié-moitié, je me refuse à démontrer votre innocence au jury.

Tout est à nous dans le couple

– Tu n’es qu’un égoïste, dit une femme au comble de l’exaspération, à son mari. Moi, moi, toujours moi. Tu ne parles que de ta voiture, de ta maison, de ton fils. Or, tu n’as rien à toi, mon petit bonhomme ! Tout est à nous, tu entends. Mais que cherches-tu dans ce placard ?

Alors, l’infortuné mari, répond simplement :
– Notre pantalon.

Capuche à deux

Les perles : les enfants

Alors qu’il pleut à verse, sa mère lui demande de se dépêcher.
« – Mais Maman, tu n’as qu’à mettre ta capuche.
– Mais je n’ai pas de capuche, ma puce.
– Alors, viens dans ma capuche, ma Maman ! »

L’avocat du Paradis

La clôture entre l’Enfer et le Paradis est brisée. Saint Pierre va voir Satan et lui dit :
« Comme convenu dans notre contrat, nous devons payer chacun de notre côté, 50-50. »

Réponse de Satan :
« Eh ! Saint Pierre ! Tu peux te brosser ! »

Alors Saint Pierre repart en beau fusil et dit :
« Puisque c’est comme ça, je vais aller chercher un avocat. »

Satan éclate de rire :
« Et où vas-tu le trouver ? »

Le langage du partage

Un curé de campagne invite chez lui quelques collègues et c’est sa bonne, la vieille Marie, qui sert à table. Elle amène l’entrée et elle dit :
– Messieurs les curés, voici des crudités de mon jardin.

Le curé fait :
– Oh, ma fille, ma fille, vous n’avez pas l’esprit de partage. Il ne faut pas dire de mon jardin, il faut dire de notre jardin.
– Oh, pardon, Monsieur le curé.

Puis arrive le rosbif, et la vieille Marie dit :
– Voici l’excellent rôti de mon boucher avec les haricots tout frais de mon jardin !
– Oh, Marie ! Je ne vais pas vous reprendre pendant tout le repas ! Pas de mon boucher, ni de mon jardin. Dites de notre boucher, de notre jardin ! Compris ?

Alors à la fin, au dessert, il y a la bonne Marie qui arrive :
– Qu’est-ce qu’il y a encore, Marie ?
– Eh bien, Monsieur l’abbé, il y a notre chatte qui est en train de faire ses petits dans notre lit.