blague parole

La volaille aristocratique

Le célèbre comte de la Blazinerie, chasseur patenté, passe à table dans son château familial…
– Que mange-t-on, Adélaïde, ce soir ?
– Mais mon chéri… La volaille que vous m’avez apportée tout à l’heure…
– Mais ma pauvre… Quand aurez-vous deux sous de cervelle ? Cette volaille, comme vous dites, c’était un oiseau parleur : un perroquet !
– Il parlait, l’animal ? Mais pourquoi ne me l’a-t-il pas dit ?

Lointains souvenirs

Mon premier souvenir d’enfance remonte à l’époque où j’étais encore dans un landau. Il tombait de la neige. J’allais demander ce que c’était, quand je me suis aperçu que je ne savais pas encore parler !

La blague de la dette policière

Charlie-le-massacreur, un énorme catcheur avec des bras gros comme ça, entre dans un bar et commande un double whisky. Il le vide d’un trait et en commande immédiatement un autre.
– Oh, et puis allez, j’offre une tournée générale ! lance-t-il à la cantonade.

Le patron sert tout le monde, puis présente l’addition au terrible Charlie.
– Laisse tomber, petit, fait le catcheur. Moi, je ne paie jamais.
– C’est ce qu’on va voir ! hurle le patron, furibond.

Il se précipite au-dehors, avise un agent de police et lui explique son cas.
– Un mauvais payeur, hein ? fait le flic. Ne vous en faites pas, je vais vous régler ça rapidement.

Mais quand il entre dans le café et qu’il voit le monstrueux Charlie-le-massacreur, le malheureux policier se sent défaillir.
– C’est lui qui refuse de payer ? demande-t-il.
– Oui, c’est lui, répond le patron. Alors, qu’est-ce que vous attendez ! Vous m’aviez dit que vous me régleriez ça rapidement !

Alors le flic, superbe :
– Monsieur, la police nationale n’a qu’une parole. Je vous dois combien ?

Des paroles et des dents

Un employé de bureau questionne un collègue :
– Est-ce que ta femme a dit quelque chose, quand elle est arrivée à l’improviste et qu’elle t’a surpris en train d’embrasser ta secrétaire ?
– Pas un mot. Et d’ailleurs, ces deux dents de devant, il fallait que je me les fasse arracher de toute façon…