blague Palestine

La blague du vol de Moïse

Le conflit israélo-palestinien a motivé, une fois de plus, une réunion d’urgence à l’ONU.

La parole est donnée à l’ambassadeur Israëlien :
– Mesdames et messieurs, Avant de commencer mon discours, je voudrais narrer une vieille histoire… Lorsque Moïse conduisait les Hébreux hors d’Égypte, il dut traverser des déserts, et des prairies, et encore des déserts… Son peuple était éreinté et avait besoin d’eau. Alors Moïse frappa la roche d’une montagne de sa canne, et au bord de cette montagne apparut un bassin rempli d’une eau fraîche claire comme le cristal. Le peuple s’en réjouit et tous burent pour leur plus grande satisfaction. Moïse souhaita alors nettoyer son corps ; pour ce faire, il alla à l’autre bout du bassin, enleva tous ses vêtements et plongea dans les eaux fraîches de la mare. Quand Moïse sortit de l’eau, il se rendit compte que ses vêtements avaient été volés…

L’ambassadeur Israélien marque alors une pause, puis il reprend :
– Eh bien, j’ai toutes les raisons de croire que ce sont les Palestiniens qui avaient volé ses vêtements !

L’ambassadeur Palestinien manque de s’étouffer en entendant cette accusation. Il saute alors de son siège et crie :
– C’est un mensonge. Tout le monde sait qu’il n’y avait pas de Palestiniens à cette époque !!!

Alors l’ambassadeur d’Israël reprend :
– Et avec cela à l’esprit, laissez-moi maintenant commencer mon discours…

Le perroquet pro-paslestinien

Sarah est ravie. Son mari Jacob vient de lui acheter un superbe perroquet. Le vendeur a promis qu’il parlait divinement. Tous les amis sont venus voir le phénomène: les Blum, les Cohen, les Mochadé, les Bloch … Il n’en manquait pas un seul. Le silence s’installe et tout le monde attend que l’oiseau, qui n’a encore rien dit, se décide.

Soudain, il se met à hurler :
– Vive Yasser Arafat ! Vive les Arabes ! A bas les juifs !!

C’est la consternation. Sarah manque s’étrangler. Les convives, livides, quittent précipitamment la pièce.

Une fois le couple seul, Sarah dit à son mari :
– Mais ça ne va pas, non ? Qu’est ce que c’est que ce perroquet ?
– Je suis désolé, chérie ! Comment aurais-je pu prévoir que cet animal exprime des sentiments pareils ? Tu as vu son nez ?