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La blague du grand con

Durant l’Occupation, un soldat allemand vient acheter chaque matin son Pariser Zeitung chez le même marchand de journaux. Et, chaque matin, le kiosquier lui répète :
– Tiens, voilà ton journal, grand con.

À la longue, l’Allemand finit par se poser des questions, et demande à un Français, dans la rue, la signification de « grand con ».
– Ça veut dire « grand conquérant », répond le passant.

Le lendemain, le soldat revient acheter son journal, comme à l’accoutumée.
– Tiens, voilà ton journal, grand con ! lui dit le kiosquier.
– Moi pas grand con ! s’exclame alors le soldat. Moi petit con, seulement. Hitler, lui grand grand con !

Occupations préliminaires

Une nana, un mec :
– Je vais me doucher puis je me mettrai en petite tenue. Je préparerai le lit, mettrai une musique douce et j’ouvrirai une bouteille de champagne…
– Oh là là, tu as énormément de choses à faire ! Je repasserai quand tu seras moins occupée.

Aime ton prochain

Au Paradis, Jésus s’adresse à Dieu le père :
– Je vais descendre sur terre pour enseigner aux hommes à s’aimer les uns les autres.
– C’est bien.
Et Jésus fut occupé pour l’éternité…

La blague du collabo

Pendant la Seconde Guerre mondiale, dans une petite ville, un homme se vantait qu’il aimait mieux travailler cinq ans pour l’Allemagne qu’un an pour la France. Ceci arriva aux oreilles des autorités occupantes. Invité à une soirée organisée par le haut commandement, à la fin d’un bon repas, un officier prit la parole :
– Messieurs, je vous présente un Français qui a le courage d’exprimer ses opinions, je lui laisse la parole.
– Oui, messieurs, je préfère travailler cinq ans pour l’armée allemande qu’un an pour la France.

Grands applaudissements de l’assemblée. Un officier pose alors la question :
– Bravo pour votre courage, quelle est donc votre profession ?

Et l’homme tout fier de répondre bien fort :
– Fossoyeur, mon commandant.