blague noyade
Le héros de l’hôpital psychiatrique
Le directeur de l’hôpital psychiatrique vient d’apprendre qu’un de ses pensionnaires a réussi à empêcher un autre malade de se suicider en l’extirpant d’une baignoire dans laquelle il allait se noyer.
Le directeur examine alors le dossier du « héros » et le fait convoquer dans son bureau.
« Monsieur, votre dossier ainsi que votre comportement héroïque me permettent d’affirmer que vous allez pouvoir quitter notre établissement. Je n’ai qu’un regret, c’est que l’on m’ait appris que l’homme que vous aviez sauvé de la noyade s’est tué un peu plus tard en se passant la corde au cou ».
« Oh, il ne s’est pas tué tout seul », répond le fou, « C’est moi qui l’ai accroché à la fenêtre pour le faire sécher »
Sous-marin olympique
Ça se passe au retour des jeux Olympiques. C’est la délégation belge de natation qui est reçue par le Roi Baudouin qui leur adresse de vibrants hommages.
« Messieurs, au nom de la Belgique et de la culture sportive une fois, je tiens à vous adresser mes plus chaleureuses félicitations pour vos exploits respectifs de ces derniers jours, car je suis particulièrement fier de le souligner ici : c’est vraiment la première fois que l’on ne déplore aucun noyé dans notre équipe. »
La noyade du dyslexique
Un homme vient de se noyer dans une rivière. Tandis que les pompiers remontent son corps, la police interroge un pêcheur qui a tout vu.
– Je le connaissais bien, dit le pêcheur. C’était Jean-le-dyslexique.
– Le quoi ?
– Le dyslexique. Quand il voulait dire quelque chose, ça sortait toujours à l’envers.
– Et là, il n’a pas crié ?
– Si. Maintenant que j’y pense, il a dû essayer de crier : « SOS… SOS !». Mais avec sa manie de dire les mots à l’envers, moi, je n’ai rien compris.