Nous sommes fin décembre et le juge du tribunal correctionnel est de bonne humeur. Il demande au prisonnier : – Quelles sont les faits qui vous sont reprochés ? – On me reproche d’avoir fait mes achats de Noël trop tôt ! – Mais ce n’est pas un crime ça. Et c’était trop tôt comment ? – Ben, avant que le magasin n’ouvre.
Une fillette de cinq ans a commandé tant de jouets que sa mère remarque : – Tu sais, le Père Noël a beaucoup d’enfants à gâter, dans le monde entier. Je ne crois pas qu’il pourra transporter tout ce que tu lui as demandé. – Il n’a qu’à prendre un traîneau plus grand, suggère la gamine. – Oui, mais ce traîneau, il faudra le tirer. – Il n’a qu’à rajouter des rennes à son attelage. – Les rennes sont résistants mais ils risquent vite d’être à bout de souffle. – En ce cas, le Père Noël n’a qu’à demander aux anges de les aider. – Bien sûr, fait la maman, mais les anges ont déjà une mission : veiller sur les petits enfants. – Et alors, s’écrie la fillette, à bout d’arguments, et les miracles, ça sert à quoi ?
Ce sont deux vieux, devenus clochards, et c’est le soir de Noël.
Ils sont côte à côte assis sur un banc, il fait froid et histoire de se réchauffer la vieille retrouve ses ardeurs passées et demande à son mari : – Chéri, ça fait des années que tu ne m’as plus touchée, ce soir c’est Noël… fais moi l’amour !
Le vieux répond en ces termes : – Oh tu me fais chier, je lis mon journal. – Mais chéri, t’as vu comment tu me parles pour une fois que je te demande quelque chose tu pourrais t’exécuter … – Mais tu me fais chier, j’te dis que je lis mon journal, et en plus j’ai sommeil ! – T’es vraiment pas sympa, moi j’ai envie, fais-moi l’amour je t’en supplie… – Non, c’est non, y’a pas de Noël qui tienne, moi je lis mon journal ! – Alors là t’es vraiment vache, il fait froid, en plus on se serait réchauffé ! – Mais bordel puisque je te dis non !!!!
Alors la vieille espérant réveiller les fantasmes et l’ardeur de son mari, lui farfouille dans le pantalon… Et d’un coup sentant quelque chose de chaud qui lui montait dans la main, elle dis à son mari : – Mais chéri tu bandes !