blague Noël

Le pantalon des fêtes de fin d’année

C’est l’histoire d’un commercial qui part en voyage d’affaire pendant les fêtes de Noël. Pendant son voyage, il décide d’envoyer un cadeau à sa femme restée en France.

Le colis arrive alors chez son épouse. Elle l’ouvre, c’est un pantalon sur lequel est écrit sur la jambe droite :
« Joyeux Noël » et sur la jambe gauche : « Bonne année ».

Au téléphone, sa femme le remercie pour son cadeau et rajoute :
« J’espère que tu viendras me voir entre les fêtes. »

Comment convaincre le Père Noël

Dans la période de Noël, deux petits frères dorment chez leur grand-mère. Un des deux garçon décide de faire une prière afin d’avoir les cadeaux qu’il voulait avoir. Il se lève de son lit et crie à tue-tête :
– PERE-NOEL, J’AIMERAIS AVOIR UN ORDINATEUR, UNE BICYCLETTE ET UNE VOITURE DE COURSE MINIATURE !

Son frère lui dit :
– Dis donc, t’as pas besoin de crier si fort, il n’est pas sourd le Père Noël !
– Le Père Noël non, mais grand-maman oui !

L’analyse scientifique de l’existence du Père Noël

Quand la science s’en mêle…

Le Père Noël est une des plus grandes énigmes scientifique qui soit. L’analyse qui suit essaye de faire le point sur cet épineux problème :

Aucune espèce connue de renne ne peut voler. Bien que soient estimés à 300.000 espèces les organismes (dont la majorité est constituée d’insectes et de germes divers) qui doivent encore être découverts et classifiés, cela ne justifie en rien l’existence des rennes volants que seul le Père Noël utilise.

Il y a environ 2 milliards d’enfants dans le monde. Puisque le Père Noël ne semble pas desservir les populations musulmanes, hindoues, juives et bouddhistes, cela réduit de 55% cette quantité d’enfants, nous laissant 375 millions d’enfants à attendre le Père Noël à chaque fête.

D’après les données des derniers recensements effectués, avec une moyenne de 3,5 enfants par résidence, cela fait 91,5 millions de maisons à visiter. Nous supposons ici qu’il y a au moins un bon enfant dans chacune d’elles.

Le Père Noël dispose de 31 heures, le jour de Noël, pour effectuer son travail (en tenant compte des différentes zones horaires, de la rotation terrestre, et en supposant qu’il voyage d’est en ouest, ce qui semble logique). Cela signifie 522,5 visites de domiciles par seconde.

De façon pratique, cela signifie que pour chaque résidence ayant de bons enfants, le Père Noël a 1/1000ème de seconde pour stationner, sauter hors du traîneau, se laisser tomber dans la cheminée, remplir les bas, distribuer le reste des cadeaux sous l’arbre de Noël, manger le snack qui a été laisse a son intention, remonter la cheminée, grimper dans le traîneau et se mettre en route vers la prochaine résidence. En supposant que chacun de ces 91,5 millions d’arrêts soient uniformément distribués autour de la planète, nous parlons ici d’une distance de 1.200 mètres par résidence visitée soit un voyage total de 110 millions de kilomètres, sans compter les arrêts pour faire ce que la plupart d’entre nous faisons au moins une fois chaque 31 heures.

Cela signifie que le traîneau du Père Noël se déplace a 1.046 kilomètres par seconde, 3.000 fois la vitesse du son.

A titre de comparaison, le plus rapide artefact d’origine humaine, la sonde spatiale Ulysse, se déplace à une vitesse douloureuse de 44 kilomètres par seconde. Un renne conventionnel, lui, se déplace a une vitesse maximale de 24 kilomètres à l’heure, et encore, avec des anabolisants.

La charge portée par le traîneau ajoute un autre élément d’intérêt. En supposant que chaque enfant ne reçoive rien de plus qu’un jeu Lego de grandeur moyenne (un kilo), le traîneau transporte alors 321.300 tonnes, sans compter le Père Noël, qui est invariablement décrit comme souffrant d’embonpoint. Sur le plancher des vaches, les rennes conventionnels ne peuvent tirer plus de 150 kilos de marchandises. Même si l’on accordait aux rennes volants une capacité de traction 10 fois plus grande que la normale, il serait impossible de faire le travail avec huit ou neuf rennes : il faudrait 214.200 de ces rennes spéciaux.

Tous ces rennes augmentent le poids total à un sommet de 353.430 tonnes, quatre fois le poids du paquebot Queen Elisabeth – et nous ne tenons pas compte du poids du traîneau lui-même.

353.000 tonnes voyageant à 1.046 kilomètres par seconde créent une résistance énorme à l’air, chauffant les rennes de la même manière que la navette rentrant dans l’atmosphère terrestre. Les rennes de tête absorberont 14,3 milliards de milliards de joules d’énergie. Par seconde. Par renne.

En résumé, ils exploseront en flammes presque instantanément, exposant les rennes adjacents à des dommages collatéraux sévères et créant des boums soniques assourdissants lors de leur passage au-dessus des agglomérations endormies et sereines. L’attelage entier de rennes sera vaporisé, en moins de 4,26 millièmes de seconde.

Pendant ce temps, le Père Noël sera sujet à des forces centrifuges 17.500,06 fois plus fortes que la force gravitationnelle. Un Père Noël de 125 kilos (ce qui semble très conservateur) serait écrasé au fond de son traîneau par 2.157.500 kilos de force.

CONCLUSION :

L’apparition miraculeuse du Père Noël reste pour les plus grands scientifiques une donnée inexplicable !

Toto et la lettre au Père Noël

« Cher Petit Jésus,

C’est bientôt Noël, et j’aimerais bien recevoir un train électrique. Si tu m’en envoies un, je te promets d’être sage pendant UN MOIS.

Merci. … Toto »

Toto contemple son œuvre et se dit qu’un mois c’est un peu long. Il se ravise, prend une nouvelle feuille et écrit :

« Cher Petit Jésus,

C’est bientôt Noël, et j’aimerais bien recevoir un train électrique. Si tu m’en envoies un, je te promets d’être sage pendant UNE SEMAINE.

Merci. … Toto »

Après lecture de cette nouvelle missive, il se rend compte qu’une semaine ça fait quand même sept longs jours et décide de raccourcir encore le délai :

« Cher Petit Jésus,

C’est bientôt Noël, et j’aimerais bien recevoir un train électrique. Si tu m’en envoies un, je te promets d’être sage pendant UN JOUR.

Merci. … Toto. »

Alors qu’il est ne train de se demander comment il va faire pour tenir sa promesse, une idée de génie lui vient : Il court au salon, va vers la télévision, sur laquelle trône une statue de la Vierge Marie (dans une
boule, avec écrit dessus, la neige quand on la retourne et tout et tout).

Il prend la statuette, l’amène dans sa chambre, la planque sous son matelas et recommence à écrire :

« Cher Petit Jésus,

Si tu veux revoir ta maman… »