blague négociant

L’âge du vase

Dans un magasin d’antiquités, un client s’approche d’un vase en marbre :
– Il me semble bien cher, dit-il au négociant.
– C’est normal, réplique le marchand, il a 3000 ans.
– Ne me prenez pas pour un imbécile ! hurle le client. C’est impossible ! Nous avons à peine au début des années 2000 !

C’est pas des oignons

Un détective a été engagé pour enquêter sur des vols dont est victime un négociant en fruits et légumes au marché en gros de Rungis.
– Pour que vous tâchiez de surprendre mon voleur, lui dit le commerçant, dissimulez-vous dans ce grand sac marqué « oignons ».
– Ça m’ennuie, dit le détective. Imaginez qu’un de vos employés déplace sans ménagement ce sac censé être plein d’oignons : ça risque de lui paraître suspect si je crie : « aïe ! ».

De l’eau dans le vin

Un négociant en vins faisait un jour, les yeux bandés, la démonstration de ses talents de dégustation. Infailliblement, il reconnut les divers crus qui lui étaient présentés et en précisait le millésime. Il venait d’en tâter ainsi une vingtaine quand on lui glissa sans rien dire un verre d’eau. Il en prit une petite gorgée et le sourcil froncé, déclara :
– Messieurs, pour la première fois de mon existence, je m’avoue vaincu. Je ne puis me prononcer, c’est là un breuvage que je n’ai jamais goûté. En tout cas, je peux vous certifier que c’est invendable !

La dot réciproque

Au XIXème siècle, un très riche négociant discute avec son futur gendre, un jeune comte assez désargenté.
– Monsieur le comte, sachez que je dote ma fille d’un million. Et vous, de votre côté, que me donnez-vous ?
– Un reçu.

Les qualités nécessaires d’un bon parti

« Je cherche un parti pour ma fille, dit la femme d’un opulent négociant. Ce n’est pas la peine qu’il soit riche ma fille l’est pour deux. Il n’a pas besoin d’être intelligent non plus, ma fille l’est pour deux. Quant à la beauté, aucune importance, ma fille en a pour deux. En revanche, il est indispensable qu’il soit honnête. »