blague naufrage

Les naufragés de l’URSSAF

humour, blague URSSAF, blague cotisations, blague nationalités, blague juifs, blague naufrage, blague île déserte

Moïse et Sarah, créateurs d’une start-up (option confection) dans la Silicon Sentier, reviennent d’un séminaire sur le capital-risque à San Francisco quand leur avion s’écrase dans l’océan. Ils arrivent à agripper un radeau de sauvetage et, seuls survivants, commencent à ramer au milieu des flots quand
Sarah demande à Moïse :
– Dis, Moïse, avant de partir, tu as payé l’URSSAF ?
– Mais enfin Sarah mais tu es complètement folle ma fille, on s’en fout de l’URSSAF on est au milieu de l’océan, garde ton énergie pour ramer, la vérité.

Sarah hausse les épaules, se tait et continue de ramer. Un peu plus loin, ils arrivent sur une île déserte et s’échouent sur la plage. Moïse fait le tour de l’île sans trouver d’habitants, il revient désespéré et la Sarah lui redemande :
– Dis, Moïse, avant de partir, tu as payé l’URSSAF ?
– Mais enfin Sarah tu as une insolation, lâches moi avec ton URSSAF, on est sur une île déserte, essaye plutôt de faire du feu pour attirer les navires.

Là-dessus un navire croise l’île au loin, Moïse se met à hurler pour attirer son attention mais rien à faire, le navire passe bien trop loin, Moïse se met à pleurer et Sarah lui demande encore une fois :
– Dis, Moïse, la vérité, tu as payé l’URSSAF ?

Là, Moïse explose et hurle :
– Mais je m’en fous de ton URSSAF à la fin, et NON je ne les ai pas payés avant de partir si tu veux savoir !

Sarah sourit sereinement et lui répond :
– Aaaah, mais alors t’inquiète pas, ils finiront bien par nous retrouver, va…

Le naufrage du superpétrolier Sanchi

L’invraisemblable silence de Tokyo face au naufrage du superpétrolier Sanchi.

dessin d'actualité humoristique d'un Japonais face à la marée noire provoquée par le naufrage du superpétrolier Sanchi en Mer de Chine
18 janvier 2018 – Le naufrage du superpétrolier Sanchi

okyo : Silence radio sur la marée noire en Mer de Chine.
Japonais : « On s’en fout… Tant qu’on peut manger des sushis. »
(Dessin du 18 janvier 2018)

Alors que déferle une marée noire encore sans précédent dans la mer de Chine orientale, le silence de Tokyo en est assourdissant. Pourtant ce naufrage menace aussi le Japon, alors pourquoi un tel mutisme face aux conséquences possibles de cette nouvelle catastrophe écologique ?

En brûlant, le pétrolier iranien a déversé une cargaison de près de 140 000 tonnes de pétrole brut. Il s’agit du plus gros rejet de condensats dans la nature de toute l’histoire du pétrole : invisibles depuis la surface, ces hydrocarbures extrêmement légers sont particulièrement toxiques pour la faune et la flore marines. Et les analyses des premiers experts n’est guère optimiste : les opérations de dépollution vont nécessiter des dizaines, voire une centaine d’année.

Véritable désastre environnemental, la pêche et le tourisme sont les premiers menacés sur l’archipel nippon, mais le mutisme du gouvernement japonais est total… aucun communiqué, ni aucune trace dans les journaux. La zone du naufrage se trouvant à proximité d’un champ gazier exploité par la Chine serait à l’origine d’un énorme contentieux territorial entre Pékin et Tokyo… ce qui pourrait expliquer cet étrange silence médiatique de la part des japonais.

Duf

La blague de l’île de la tentation

Après le naufrage de leur bateau, un homme et six femmes trouvent refuge sur une île déserte. Au bout d’un mois, aucun secours ne leur étant parvenu, les naufragés se résignent à trouver un arrangement.

Chaque femme disposera des faveurs du seul homme disponible une fois par semaine, et l’homme disposera ainsi d’un soir de repos tous les dimanches.

Au début, tout va bien, le vaillant naufragé ne rechignant pas à donner de sa personne même les jours de congés, mais les mois passant, puis les années, la lassitude commence à s’installer et notre Robinson attend avec impatience le dimanche. En fait, il espère qu’un autre homme vienne le seconder…

Un beau jour, l’incroyable arrive : un autre naufragé de sexe masculin s’échoue sur la plage.

Le Robinson fatigué court à sa rencontre et lui dit :
– Oh mon gars, t’as pas idée à quel point je suis content de te voir !

Le nouvel arrivant lui sourit :
– Merci bel Apollon, tout le plaisir est pour moi !

– Eh merde ! soupire l’ancien naufragé, je crois que je peux faire une croix sur mes dimanches…

Le naufragé anthropophage

Deux naufragés survivent depuis plusieurs jours sur un radeau en plein océan. Un matin, l’un des deux se saisit d’un couteau et commence à couper la jambe de son compagnon qui se met aussitôt à hurler. Alors son agresseur lui répond :
– Oh ta gueule ! Attends un peu, t’auras ta part toi aussi !

La blagues de l’île aux éléphants

Un bateau fait naufrage et il n’y a que trois rescapés : un Allemand, un Français et un Juif. Ils arrivent à nager jusqu’à une île pas tout à fait déserte, puisque peuplée d’éléphants… mais aucun humain. Ils ont bien récupéré quelques caisses de leur bateau. Malheureusement ce n’est que des tonnes de papier et de l’encre à profusion. Dommage…

Ils restent des mois sur l’île et apprennent à y vivre. Mais ils s’ennuient un peu. Et l’un d’eux a une idée :
– Nous devrions écrire des livres sur les éléphants, que nous côtoyons beaucoup ici. Comme si un jour on vient nous repêcher, nous pourrons éditer nos livres, et ne pas être exclus de la vie sociale du pays.

L’idée est bonne, elle est adoptée. Au bout d’un mois l’Allemand dit qu’il a terminé. Il montre son manuscrit. Il fait 200 pages et s’intitule : « La vie sociale des éléphants ».

Deux mois après le Français a fini son bouquin. Il fait 800 pages et s’intitule : « La sexualite des éléphants ».

Le Juif traîne. Enfin, un an plus tard, son livre est écrit. Ce sont trois tomes de mille pages chacun. Le tout s’intitule : « Les éléphants et la question juive ».