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La polonaise du violoniste

Dans un café assez chic où les vieilles dames viennent prendre le thé, un violoniste entre en disant :
– Je vais vous interpréter une Polonaise.

Le silence se fait. L’homme commence à jouer mais il joue très mal, c’est une véritable horreur, on dirait un chat qu’on égorge. Toutefois, son morceau terminé, le violoniste, très fier, annonce :
– Je vais vous jouer une autre Polonaise.

Là, il y a un client qui se met à pleurer. Le violoniste lui dit :
– Je comprends pourquoi vous pleurez, c’est la nostalgie du pays ? Vous êtes Polonais ?
– Non, je suis violoniste…

Les dernières volontés des condamnés du Texas

Deux gars, dans une prison du Texas sont condamnés à morts. Ils vont passer à la chaise électrique le même jour.

On les conduit dans la chambre d’exécution. Le prêtre leur donne les derniers sacrements, puis le directeur de la prison fait un dernier discours, et enfin le curé invite tout le monde à prier une dernière fois.

Le directeur se tourne ensuite vers le premier qui sera exécuté et lui demande :
– Quelle est votre dernière volonté ?

Le gars répond :
– J’aime danser… Vous pourriez passer la Macarena à la sono pour que je danse une dernière fois ?

Le directeur :

– Certainement, on peut faire ça pour vous. (et se tournant vers le deuxième condamné) Et vous, quelle est votre dernière volonté ?

Le gars :
– S’il vous plaît, Tuez-moi en premier !

La blague de l’écossais à Londres

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Angus Mac’Intosh, un écossais de pure souche, fut un beau jour obligé de s’expatrier à Londres pour poursuivre ses études secondaires.

Après son premier mois de scolarité, il reçoit la visite de sa maman dans sa chambrette universitaire. – Alors, comment sont les autres étudiants anglais, Angus ?
– Ils sont exécrables maman. Ce sont vraiment des gens bruyants et sans-gêne. Tous les soirs par exemple, mon voisin de la chambre à ma droite n’arrête pas de se cogner la tête contre la paroi. Quant à mon voisin de la chambre située de l’autre côté, tout ce qu’il sait faire c’est hurler et hurler encore !
– Oh mon pauvre Angus… Comment arrives-tu à supporter ces malappris de voisins anglais ?
– Maman, je ne fais rien du tout. Je les ignore. Je reste là calmement assis sur mon lit à jouer de la cornemuse…

La répétition du groupe

Des jeunes qui ont monté un petit orchestre répètent, dans la chambre de l’un d’eux, au domicile de ses parents.
– Bon, dit le chef de la formation, alors où reprend-on ? Aux hurlements de ta mère : « Allez-vous arrêter ce vacarme, avant que je ne devienne complètement folle ? » Ou à la menace du voisin : « Fermez au moins vos fenêtres ou je décroche mon fusil ? »

Humanitaire n’est pas chanteur

Un chanteur, qui est de toutes les manifestations humanitaires, se rend dans un des plus coûteux restaurants de Paris. Au moment où le maître d’hôtel s’approche, avec son carnet et son crayon à la main, le dîneur au grand cœur l’interpelle :
– Vous n’avez pas honte, alors que des centaines de millions d’hommes, de femmes et d’enfants meurent de faim, dans le Tiers Monde, de venir prendre ma commande pour un foie gras de canard, un châteaubriant pommes dauphine et le chariot de desserts…. Surtout, saignant, le château !… Et comme vin, un Pape Clément 1987.