blague Moscou

Le striptease à Moscou

Un touriste français en vacances à Moscou en a un peu assez des cabarets russes et a envie de s’amuser un peu. Il va voir le concierge de son hôtel et lui demande discrètement :
– Connaissez-vous un cabaret de striptease ?
– Da, répond le concierge.
– Bien, bien, fait le Français, tout content. Et où se trouve-t-il ?

Le concierge pousse un soupir et répond :
– À Stockholm, monsieur…

La blague du petit bouton rouge

Du temps de l’URSS, Ronald Reagan rend visite à Iouri Andropov dans son bureau du Kremlin. Derrière une tenture, il aperçoit un petit bouton rouge.
– Qu’est-ce que c’est que ça ? demande-t-il au président du Soviet Suprême.
– Appuyez, vous verrez, lui réplique ce dernier.
Aussitôt dit aussitôt fait. Un hérisson sort d’un mur et de sa gueule jaillit de l’eau qui arrose le visage du président américain.

Quelques semaines plus tard, Iouri Andropov se trouve dans le bureau ovale de la Maison-Blanche et aperçoit, derrière une tenture, un petit bouton rouge.
– Qu’est-ce que c’est que ça ? demande-t-il.
– Appuyez, vous verrez, répond Reagan.

Andropov s’exécute. Il ne se passe rien.
– C’est curieux, s’interroge-t-il. Chez nous, à Moscou…
– Il n’y a plus de Moscou, lui répond Reagan…

Temporalité russe

À la grande époque de l’URSS, le téléphone sonne à Moscou chez un pilote de ligne d’Aeroflot… C’est le fils de la famille qui répond.
– Allô ! Bonjour, est-ce que Boris est là ?
– Non, papa fait la ligne Moscou-Washington, il sera là dans trois heures…
– Bon, et ta maman ?
– Ludmilla, ma maman, est partie chercher du riz et de la viande, elle sera là demain vers midi.

Le plan quinquennal

Nous sommes dans une école de Moscou, au temps de l’Union Soviétique, et l’instituteur interroge le petit Boris.
– Dis-moi, Boris, d’après toi, quelle est l’importance du plan quinquennal ?
– Je pense, dit Boris, qu’il doit mesurer 1 mètre 50 environ.

L’instituteur secoue tristement la tête.
– Je me demande où tu es allé chercher cette mesure !
– C’est facile à comprendre, dit Boris. Mon père mesure 1 mètre 75 et tous les matins, quand il se lève, et avant de partir au boulot, il met sa main sous le menton et il dit : « le plan quinquennal, j’en ai jusque-là ».