blague mort

La mort de David Cohen

Une dame juive téléphone à son journal local et demande à parler au responsable de la section « Nécrologie » :

Le gars du journal lui répond :
– Que puis-je faire pour vous ?
– J’aimerai passer une annonce.
– Très bien Madame, je vous écoute, quel est le texte ?
– « David Cohen est mort ».
– Et c’est tout ? « David Cohen est mort » ?
– Oui, c’est tout.
– Mais vous avez droit à 4 lignes pour votre annonce. C’est compris dans le prix.
– D’accord. Alors mettez : « David Cohen est mort…Mercedes 300 SL à vendre ».

Les chances de survie

Le médecin vient de procéder à toute une série de tests et d’examens. C’est le moment où il va rendre son diagnostic.
– J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle pour vous. Je vous dis la mauvaise nouvelle d’abord : vous avez une maladie extrêmement grave. En moyenne, seule une personne sur dix peut y survivre !
– Oh ! C’est terrible, docteur ! Mais dites-moi, quelle est la bonne nouvelle alors ?
– Mes neuf derniers patients sont morts.

Le juif sur son lit de mort et l’évêque

C’est un juif super riche, super connu, super cynique et sans descendant qui est sur son lit de mort. Au dernier moment, au lieu d’appeler le rabbi à son chevet, il fait convoquer l’évêque !

L’évêque est intrigué et en raison de la personnalité du mourant, il fait le déplacement. Lorsqu’il entre dans la chambre, le juif lui fait signe d’approcher… et quand il est vraiment tout près, il lui murmure :
– Je vous ai fait venir ici pour que vous appreniez mes dernières volontés… Je vais partager ma fortune en trois : Une part ira à la construction d’un monument à la mémoire de tous les juifs morts pendant la guerre… une autre ira à la construction d’une maison de retraite pour les rescapés de la Shoa… et la dernière part sera remise au rabbi Rosenberg pour qu’il l’utilise comme bon lui semblera.

L’évêque est blême : Il ne comprend pas pourquoi le juif l’a fait venir à son chevet, surtout pour lui raconter qu’il passera à côté de l’héritage. Il demande :
– Excusez-moi, mais… pourquoi m’avez-vous fait appeler ?
– Parce que ma maladie est contagieuse.