blague mort

La vie d’après Donald Sutherland

« Je n’ai que 65 ans, je suis beaucoup trop jeune pour penser à la mort. De toutes façons, je suis pour la vie dans l’autre sens. Je trouve qu’on devrait commencer par la mort, comme cela on serait débarrassé de cette angoisse.

Puis on vous installerait dans une maison de repos, de laquelle on finirait par vous mettre à la porte parce que vous êtes trop jeune.

On passerait quelques années à voyager ou à jouer au golf, puis on nous donnerait une montre en or et on commencerait à travailler.

Cela durerait trente à quarante ans. Quant on aurait rassemblé toute cette expérience, on entrerait à l’université où l’on pourrait apprécier pleinement d’autres expériences comme le sexe, être saoul ou essayer quelques drogues.

Puis on irait au lycée, à l’école primaire et enfin à la maternelle. On se ferait câliner par une femme pendant trois ou quatre ans, ensuite on sucerait goulûment une douce mamelle, on passerait neuf mois dans un ventre bien chaud et la vie se terminerait par un orgasme ! »

Beaucoup plus chouette comme ça non ?

Adolf hitler et la diseuse de bonne aventure tzigane

Adolf Hitler était victime de cauchemars terribles, si bien qu’un jour, n’y tenant plus, il décida d’aller consulter une diseuse de bonne aventure tzigane pour qu’elle lui trouve la source de son problème.

La femme lui dit :
– J’ai bien peur de ne pas pouvoir résoudre votre problème de cauchemars, mais par contre, je peux vous dire que vous mourrez un jour férié juif…

Hitler répond :
– Ah oui ? Et quel jour ?
– Ca n’a pas d’importance : quelque soit le jour de votre mort, ça sera un jour férié juif.

Le viol ou la mort

Une ménagère rentre, tout essoufflée, du marché :
– Chéri, dit-elle à son mari, c’est affreux ! Dans l’ascenseur, un voyou m’a menacée de son couteau et m’a dit : « Je te viole ou je te tue ».
– Mon dieu ! fait l’époux, bouleversé. Qu’as-tu fait ?
– Rassure-toi, chéri, je suis bien vivante.