blague miracles
La blague des produits du curé
C’est un curé de campagne qui se rend à bicyclette au cimetière pour un enterrement. Juste avant, il est allé faire des courses dans une droguerie pour acheter divers produits dont il connaît l’utilité pour ce qui va suivre… A vous de trouver lesquels en lisant l’histoire…
La route qui mène au cimetière est en forte pente, et les freins de son vélo lâchent… Mais le curé sort alors une boîte en carton de sous sa soutane, et en répand le contenu sur son vélo, qui s’arrête alors…
Arrivé au cimetière, il annonce aux personnes présentes pour l’enterrement, incrédules :
« Ne pleurez pas, un miracle va avoir lieu, Jean va ressusciter ! »
Comme personne ne le croit et qu’il doit y avoir un climat de foi pour que le miracle ait lieu, il sort un flacon de sous sa soutane, et en répand le contenu sur l’assistance… qui aussitôt après est prise d’une foi inébranlables quant à la résurrection du mort…
Le curé s’approche alors de l’endroit où le mort repose sous terre, sort un autre flacon et verse son contenu sur la sépulture de Jean (le mort)… et celui-ci soudain sort de terre, vivant !
Quels étaient les 3 produits utilisés par le curé…???
– Le premier, pour arrêter son vélo sans frein : de la poudre à récurer (arrêt-curé)
– Le second, pour donner la foi : un produit antiseptique (anti-sceptiques)
– Le troisième, pour ressusciter le mort : du détergent (déterre-Jean)
Le curé et la blague du Beaujolais
Le père Barnabé, un bon vieux curé de campagne du Beaujolais, qui se fait prendre au radar avec sa 4L à la sortie du village. Le gendarme qui l’arrête un peu plus loin lui dit :
– Alors mon Père, on fait des excès de vitesse? Vous saviez que vous rouliez à 90 au lieu de 50 ?
Puis le gendarme renifle un peu et sent des effluves de vin rouge. Il regarde un peu dans la voiture et aperçoit une bouteille de Morgon vide sur le siège du passager. Il s’adresse alors à nouveau au curé :
– Mais il me semble en plus que vous avez bu de l’alcool, non ?
Le père Barnabé :
– Non non, juste de l’eau mon fils.
Le gendarme :
– Alors, comment se fait-il que votre haleine sente le vin ?
Le curé regarde alors sa bouteille, puis lève les yeux au ciel et dit :
– Seigneur, c’est pas possible, VOUS l’avez encore fait !
La petite fille qui voulait trop de cadeaux à Noël
Une fillette de cinq ans a commandé tant de jouets que sa mère remarque :
– Tu sais, le Père Noël a beaucoup d’enfants à gâter, dans le monde entier. Je ne crois pas qu’il pourra transporter tout ce que tu lui as demandé.
– Il n’a qu’à prendre un traîneau plus grand, suggère la gamine.
– Oui, mais ce traîneau, il faudra le tirer.
– Il n’a qu’à rajouter des rennes à son attelage.
– Les rennes sont résistants mais ils risquent vite d’être à bout de souffle.
– En ce cas, le Père Noël n’a qu’à demander aux anges de les aider.
– Bien sûr, fait la maman, mais les anges ont déjà une mission :
veiller sur les petits enfants.
– Et alors, s’écrie la fillette, à bout d’arguments, et les miracles, ça sert à quoi ?
Jésus et les poulets unijambistes
C’est Saint Pierre qui a invité Jésus à manger. Il est content, il a super bien réussi son poulet barbecue. Tellement bien réussi qu’il en a l’eau à la bouche.
Saint pierre décide de le goûter (uniquement pour être sur qu’il est assez salé… pas de péché de gourmandise chez Saint pierre…). Il arrache un petit morceau sur une patte bien grillée, le mange… il est pas certain… un autre petit morceau… et Jésus qu’est en retard… un troisième morceau de cuisse… Et là bien sur, Saint Pierre se rend compte que le poulet n’est plus présentable. Il enlève donc complètement la cuisse (la mange), rabat la peau pour camoufler le lieu du délit.
– DRIINNNGGGG.
Saint Pierre regarde à travers le judas. C’est Jésus. Il ouvre :
– S’cuse-moi pierrot, j’étais occupé avec la bonne… une Samaritaine.
Comme ils sont pas en avance, ils se mettent à table.
Jésus prend une cuisse :
– Miam miam… délichieux ton poulet chaint pierre… miam… je reprendrai bien l’autre cuisse.
– …Ben en fait… c’est pas possible…
– Cela pose problème ?
– Tu sais Jésus, les poulets chez nous, ils n’ont qu’une cuisse… une particularité du pays…
– Ah bon ? ben donne du blanc alors.
L’après-midi est ensoleillé, alors pour digérer, ils vont se promener. Là, dans le poulailler, les poules semblent dormir et elles ont toutes une patte repliée sous l’aile comme le font les poules qui roupillent.
Saint pierre saute sur l’occase :
– Ah tu vois Jésus, je te l’avais bien dit : les poules chez nous n’ont qu’une patte !
– Effectivement… PSSCCCHHHHHTTTT ! fait Jésus en frappant dans ses mains.
Les poules se mettent à courir dans tous les sens.
Alors Saint Pierre :
– Pffff… évidemment… toi, avec tes miracles !