blague miel
Le parisien et les mouches de la campagne
Un parisien arrive chez des amis à la campagne… Son ami paysan le reçoit :
– Cré vingt diou ! c’est-y pas l’Maurice !
– Si , si. Bonjour Serge….. Alors … toujours autant de mouches dans la ferme ? Je me rappelle l’année dernière il y avait plein de mouches partout, c’était invivable !
– Ah non ! A c’t’heure, j’ai trouvé un truc, maintenant j’utilise l’pépé !
– Ah bon ?
– Ben ouais, on enduit l’pépé de miel et zouuu toutes les mouches elle vont sur lui cré d’vin diou !
– Ah mais il doit gigoter dans tous les sens … le pauvre !
– Ah ben non ça … l’est paralysé.
De la satisfaction et des abeilles
– Etes-vous content de vos abeilles, cette année ? demande un Parisien à un apiculteur.
– Oui et non, répond celui-ci. Non, parce qu’elles ne m’ont pas donné beaucoup de miel. Et oui, parce qu’elles ont tellement piqué ma belle-mère que celle-ci a décidé de ne plus jamais remettre les pieds chez nous.
Une abeille dans la foufoune
Par un beau jour d’été, alors que son mari est en voyage, une jeune femme est au bord de sa piscine. La chaleur et le soleil aidant, elle se trouve allongée jambes écartées avec la minette à l’air. Quand soudain… Une abeille s’engouffre dans sa foufounette.
Paniquée, la jeune femme prend son téléphone portable qui ne la quitte jamais et appelle son médecin. Ce dernier lui conseille d’appeler son mari pour qu’il élimine l’insecte fouineur selon la méthode suivante :
– Que son mari vienne en érection.
– Qu’il prenne un pot de miel et s’enduise le gland de miel.
– Qu’il la pénètre et attire l’abeille en ressortant.
Comme la jeune femme lui dit que son mari est en voyage, le médecin lui dit tout de suite :
– Ne bougez surtout pas, j’arrive !
Une fois sur place, le médecin respecte scrupuleusement les consignes décrites plus haut et qui devaient s’appliquer au mari…
Mais voilà t-y-pas que l’homme de médecine prend goût à la chose et ne faiblit pas sur les va-et-vient !
La jeune femme :
– Dites, je pensais que l’abeille devait sortir au goût du miel…
Le médecin :
– Oui, mais comme elle ne se décide pas, j’ai décidé de la noyer !