blague meurtres

Pas violent, mais…

Les perles : la justice

Dans une affaire de meurtre, le président de la cour d’assises s’adresse à un témoin agriculteur :
– L’accusé était-il violent ?

Le témoin, plein de spontanéité :
– Je l’ai jamais vu battre sa femme, ça non ! Mais courir après elle avec un fusil, ça oui !

Quand on sait que madame se prénommait Dolorès…

La blague du crime parfait

Un homme est décidé à en finir avec son épouse et décide de demander conseil à un ami docteur sur les façons non détectables d’en finir avec elle.

Le docteur, sentant le coup foireux, lui suggère que faire l’amour vingt fois par jour expédie une personne normale dans l’au-delà en un mois.

Vingt-neuf jours plus tard, le docteur rencontre son ami et lui demande comment il va.

Le pauvre gars, qui a l’air d’un vieillard vouté, tout ridé et ne pesant plus qu’une cinquantaine de kilos, lui répond :
– Super, ma femme est gaie comme un pinson et elle pète la forme. Elle ne se rend même pas compte qu’il ne lui reste plus qu’un jour à vivre.

Les fusillades aux États-Unis

États-Unis : nouvelle fusillade en Floride. Les fusillades mortelles se banalisent dans les lycées. Les étudiants ont du mal à canaliser leurs émotions.

dessin humoristique d'une fusillade dans une classe aux États-Unis
19 février 2018 – Les fusillades aux États-Unis

Professeur : « Je vous ai déjà dit de lever la main pour parler… »
(Dessin du 19 février 2018)

Une nouvelle fusillade fait 17 morts dans un lycée en Floride… Nous sommes ne sommes que le 18 février et c’est déjà la 18ème fusillade dans une école aux États-Unis en 2018.

Les étudiants sont sur les nerfs et se rendent tous les jours à leurs cours la peur au ventre… Emma Gonzalez, une « survivante », fustige le gouvernement et plus particulièrement Donald Trump, grand ami des lobbyistes des armes à feu, plus que passif face aux problèmes et conséquences que cela engendre. Ce genre de tuerie ne semble malheureusement pas prêt de s’arrêter… jusqu’à devenir parfaitement banal et fait déjà parti du quotidien des millions d’américains.

La vente d’arme soutenue par la National Rifle Association peut remercier le deuxième amendement de la Constitution qui garantit à tous les citoyens américains le droit de porter une arme pour se défendre. Elle fait des millions de dollars de bénéfices grâce aux millions de personnes tuées par les armes qu’elle met sur le marché.

Les États-Unis, un pays libre où chacun a le droit de se promener un « gun » à la main pour aller exploser la tête de son prochain.

Duf