blague meurtre

Relativisme catholique

Tyrannisé par sa femme, persécuté par ses enfants, martyrisé par sa belle-mère, un brave homme en a eu brusquement marre et a tiré dans le tas. L’une de ses balles a touché une bonbonne de gaz et une formidable explosion a soufflé sa maison… et les preuves de son crime. Rescapé par miracle, il touche même l’assurance-vie de sa défunte épouse et repart pour une nouvelle existence sans être autrement inquiété.

Pourtant, avec les années, le brave homme est saisi par le remords, et éprouve de plus en plus le besoin de se confesser. Comme il est protestant, il va voir un pasteur, mais celui-ci pousse des cris et le chasse ignominieusement du temple. Désespéré, il va voir un rabbin, mais celui-ci se bouche les oreilles et le maudit.

En désespoir de cause, il va alors se confesser à un curé et, une fois de plus, avoue son méfait.
– Mon père, j’ai tué…

Et, derrière la grille, il entend la voix paisible du prêtre lui répondre :
– Combien de fois, mon fils ?

La blague du cocu caféiné

C’est un monsieur qui va voir son docteur.
– Docteur, l’autre jour, j’ai trouvé un homme ans le lit avec ma femme. J’ai voulu le tuer, mais ma femme est si belle que j’ai abandonné ce projet, et nous avons pris le café tous les trois.
– Oui, et alors ? s’impatiente le docteur.
– Alors, le lendemain, j’ai trouvé ma femme avec deux hommes dans son lit. J’ai voulu les tuer, mais ma femme est si belle que j’ai abandonné ce projet, et nous avons pris le café tous les quatre.
– Dépêchez-vous, demande le docteur, mon cabinet est plein de monde.
– Le lendemain, j’ai trouvé ma femme avec trois hommes dans son lit. J’ai voulu les tuer, mais ma femme est si belle que j’ai abandonné ce projet, et nous avons pris le café tous les cinq.
– Mais où voulez-vous en venir ? demande le docteur.
– Et bien, vous ne pensez pas docteur, que tous ces cafés risquent de me faire mal ?