blague métiers

Le chauffeur de taxi et les putes

C’est le père et son petit garçon de 5 ans qui prennent un taxi et ils passent par la rue Saint Denis (à Paris). Le fils demande :
« Papa, qu’est-ce qu’elles attendent les madames ? »

Le père :
« euh , et bien je sais pas … »

Le fils :
« Oui mais dis moi Papa qu’est-ce qu’elles attendent ? »

Le père :
« Euh, c’est des femmes qu’attendent leur maris. »

Alors là le chauffeur de taxi intervient et dit :
« Mais non petit c’est des putes ! »

Le fils :
« Papa, papa c’est quoi des putes ? »

Le père en colère :
« Eh bien c’est des femmes qu’ont plein de maris. »

Le fils :
« Si elles ont plein de maris , elles doivent avoir plein d’enfants , ils font quoi les enfants ? »

Le père :
« Ils font des chauffeurs de taxi. »

Le numéro un d’Hara-Kiri

Chez un libraire, un adolescent tient à la main le numéro un d’Hara-Kiri.
– C’est une pièce rarissime que les amateurs s’arrachent à prix d’or, lui dit le marchand. Je vous le laisse à 2.000 euros.
– Mais…j’ai retrouvé ça au grenier. C’est mon père qui avait dû l’acheter et je voulais vous le vendre.
– Ah ! Fait le marchand, d’un air dégoûté. Il n’y a pas de demande, pour ce genre de vieillerie. Je vous en donne 15 euros.

Le triomphe sexuel de Casanova

Dans un club très spécial est organisé un spectacle non moins spécial : le triomphe de Casanova. Un athlète particulièrement athlétique se propose d’honorer en une heure 13 jeunes expertes es-libertinage, sans trucage ni play-back.

Il y a foule. Le spectacle commence.

Le vigoureux vit du viril et vicieux vidangeur suscite à toute l’assistance une envie démesurée, et chez les jeunes assistantes des cris orgasmiques aussi stridents qu’humides.

Après une demi-heure, on baisse le chauffage, l’athlète pointe correctement aux temps intermédiaires et le premier rang est inondé. Au bout de 45 minutes, 10 jeunes filles gisent pantelantes, des sourires aux lèvres, petites, moyennes et grandes.

Plus que trois !

C’est alors qu’arrive le drame, le coup de barre, la fringale, le trou, Dans un sursaut d’énergie, la veuve poignée rétablit la situation dans une enfilade bâclée.

Plus que deux !

Des mains expertes ayant pratiqué le Kama Soutra depuis leur plus tendre enfance, aidées d’une volonté de fer et d’un brin de simulation, viennent à bout de l’avant-dernière candidate.

Il reste 4 minutes mais plus aucun espoir.

Entre les jambes de l’athlète pend une limace ridiculement dégoulinante qui n’intéresserait même pas une bonne soeur aux fesses molles. C’est la fin, c’est le bide, c’est le fiasco.

Le directeur du club n’en croit pas ses yeux, son avenir est foutu, c’est la ruine. Canines en avant, il se rue sur le malheureux artiste prostré qui marmonne :
« J’comprends pas, j’comprends pas, j’avais pourtant répété trois fois cet après-midi… »