Ce sont deux psychiatres qui ont leur cabinet dans le même immeuble et qui, chaque matin, prennent l’ascenseur.
Autant le premier est toujours élégant, bien habillé, passant du complet luxueux à la tenue de golf ou de tennis de grande qualité, bien coiffé, bronzé, respirant l’énergie et la forme…
Autant le deuxième est de plus en plus fatigué, le teint blafard, les yeux cernés, les ongles rongés, la coiffure aléatoire, mal rasé. Ce dernier n’en pouvant plus, craque un jour et demande à l’autre : – Cher Confrère, permettez-moi de vous importuner, mais cela fait plusieurs moi que je vous vois chaque matin et vous resplendissez, quel est votre secret ? – Pardon ? fait l’autre en enlevant une boule Quies de son oreille…
C’est un gars qui vend des bibles en porte-à-porte depuis quelques années déjà, et il en a marre : il décide de se mettre à son compte. Il passe donc une annonce pour recruter des jeunes vendeurs qui vendront les bibles à sa place. Trois candidats se présentent :
Le premier lui dit : – Je VEUX vendre des bibles pour VOUS ! – C’est d’accord mon gars mon gars, tu es embauché : Tiens, prend ton équipement et va vendre des bibles !
Le second arrive et dit : – Je VEUX vendre des bibles pour VOUS ! – C’est d’accord mon gars mon gars, tu es embauché : Tiens, prend ton équipement et va vendre des bibles !
Le troisième entre et dit : – Je v-v-v-v-eux ven-ven-ven-dre d-d-d-des bi-bi-bi-bi-bibles p-p-p-pour v-v-v-vous – Non mon gars. Je ne peux pas te prendre. Jamais tu n’arriveras à me vendre une bible. Laisse tomber ! – M-m-m-mais j’ai vr-vr-vrai-vrai-vraiment be-be-be-besoin de-de-de ce tr-tr-tr-tra-tra-travail !
Comme il n’y a plus de postulant pour le poste, le nouveau patron accepte de prendre le bègue à l’essai : – Tiens, voilà un carton de bibles, prend le et va me vendre toutes les bibles que tu peux.
A la fin de la journée, les vendeurs rentrent à la base …
Le premier dit : – J’ai vendu 8 bibles aujourd’hui.
Le second dit : – J’ai vendu 11 bibles.
Le bègue dit : – Auj-auj-auj-j-j-jourd’hui j-j-j-j’ai ven-ven-ven-vendu vingt-vingt-vingt-huit bi-bi-bi-bibles.
Le patron répond : – SUPER les gars. Mais demain, j’attend de vous que vous me vendiez beaucoup plus de bibles que ça. Aujourd’hui c’était l’entraînement, demain, c’est la compétition !
A la fin de la deuxième journée, le premier vendeur est au rapport : – J’ai vendu 32 bibles !
Le second dit : – J’ai vendu 44 bibles !
Le bègue arrive et dit : – Auj-auj-auj-j-jour-jour-jour-jourd’hui j-j-j-j’ai ven-ven-ven-vendu soi-soi-soi-xan-xante-dix-dix-dix-neuf bi-bi-bi-bibles.
Le boss répond directement au bègue : – Fantastique ! je me demande vraiment comment vous parvenez à vendre quasiment deux fois plus que les deux autres vendeurs ! Je serai curieux de connaître votre technique de vente…
Alors le bègue répond : – Je-je-je-je les-les-les ab-ab-aborde sim-sim-sim-ple-ple-plement et j-j-j-je leur d-d-d-deman-demande s-s-s-s-si ils v-v-v-veulent qu-qu-que j-j-j-j-je l-l-l-leur v-v-v-v-v-vend-d-d-de une b-bi-bi-bi-bibl-bl-bl-bible ou s-s-s-si ils v-v-v-v-veul-l-l-veulent qu-qu-qu-que j-j-j-je l-l-leur LISE un pa-pa-pa-pa-ssa-ssa-ssa-ge ?
– Moi, dit une dame, quand je reçois des amis à déjeuner, je leur sers d’abord un chili con carne bien épicé, arrosé d’une bonne téquila. Après cela, il m’est arrivé, à court de boissons fortes, de leur donner à finir un flacon de Monsieur Propre sans qu’ils protestent autrement que pour dire qu’il n’y en avait pas assez.