blague marche

La blague des œufs de l’amour

Mamie, proche de la mort, est dans son lit. Papy est à ses côtés.

Mamie lui demande : va dans le grenier, au fond à gauche, tu trouveras une boîte.

Papy monte au grenier, et y découvre, sous la paille, une petite boîte dans laquelle il y a 3 œufs et 20.000 euros. Il retourne auprès de mamie sur son lit de mort, et lui demande :
– C’est quoi ces trois œufs ?
Mamie lui répond :
– Chaque fois que je n’avais pas d’orgasme avec toi, pendant ces 50 ans d’amour, je mettais un œuf dans cette boîte.

Papy, très fier de n’y trouver que trois œufs en 50 ans d’amour demande alors :
– Et les 20.000 euros ?
– Chaque fois que j’avais une douzaine d’œufs, j’allais les vendre au marché…

La blonde de l’arrivée

Le maréchal chef des logis stimule la troupe :
– Allez les gars ! On va faire une petite marche de vingt kilomètres… Pour vous donner du courage, imaginez une belle blonde à l’arrivée !

Un jeune soldat marmonne :
– Ouais… Ben moi j’aimerais rencontrer une jolie rousse à mi-chemin !

Un accident de vote

Une mamie glisse en faisant son marché et tombe sur le dos. Parmi les gens qui se précipitent pour l’aider, le maire du village est le premier à la relever. La vieille dame est toute émue :
– Vraiment, Monsieur, je ne sais comment vous remercier !
– Vous n’aurez qu’à voter pour moi aux prochaine élections !
– Cher Monsieur, je suis tombée sur le dos, pas sur la tête !

Charognards…

dessin humoristique du marché ramassant les services publics abandonnés par l'État
8 mars 2018 – Charognards…

Vous ne pensiez quand même pas qu’ils se contenteraient de la privatisation des autoroutes ?
Medef/Marché : « Tous ces jolis services publics négligés par l’État… ce serait dommage de ne pas en profiter ! »
(Dessin du 8 mars 2018)

Le petit bonhomme vert

Les perles : les enfants

Observant ses chaussures d’une marque très connue :
« Tu as vu, Mamie, sous mes chaussures, il y en a une qui a un feu rouge et l’autre un feu vert. C’est parce que des fois, il faut que je marche, et des fois il faut que je m’arrête. »

(Julen, 4 ans)