blague malchance
La blague des Smith
Un homme téléphone à la société d’assurances anglaise Smith, Smith, Smith, Smith.
– Je voudrais parler à mister Smith, please.
– Sorry. Mister Smith est en vacances. Il ne sera de retour qu’à la fin du mois.
– Comme c’est ennuyeux… Dans ce cas, pouvez-vous me passer mister Smith ?
– Sorry. Mister Smith est en réunion. Il est impossible de le déranger
– Je comprends. Dans ce cas, est-ce que mister Smith est là ?
– Vous jouez de malchance, sir. Mister Smith est malade…
– Well… Eh bien, passez-moi mister Smith, alors.
– C’est moi-même. C’est à quel sujet ?
La blague du vieux malchanceux
Un vieux juif se présente à la porte du banquier Rothschild pour lui demander la charité.
– Donnez-moi un coup de main, implore-t-il. Toute ma vie, je n’ai eu que de la malchance. Et pourtant, j’étais doué…
– Que faisiez-vous ? demande Rothschild, ému.
– J’étais musicien. Un grand musicien. Je peux même dire que j’étais virtuose. Malheureusement, je n’ai jamais eu de chance…
– Et de quel instrument jouiez-vous ? demande le banquier.
Le vieux juif, un peu inquiet, hésite et répond :
– Du hautbois, monsieur Rothschild.
– Ça alors ! s’exclame le banquier. Je joue moi-même du hautbois. Entrez donc et venez m’en jouer un morceau.
Mais le petit vieux reste sur le perron et se lamente de plus belle.
– Vous voyez à quel point je suis malchanceux… Je vous ai dit que je jouais du hautbois. J’aurais pu dire du cor ou du saxophone ! Il fallait justement que vous ayez vous-même un hautbois !
L’américain malchanceux
Deux amies américaines bavardent sur une plage de Californie :
– Moi, je n’ai jamais eu de chance, dit l’une. Avec mon mari, nous nous sommes installés dans tous les États d’Amérique, et toujours il a fallu partir en catastrophe car nous faisions faillite. Il n’y a qu’à sa mort que mon mari a eu de la veine.
– Ah ? Et pourquoi ?
– En creusant sa tombe, on a trouvé du pétrole !
Les blondes hippiques
Deux blondes ont décidé de découvrir de nouvelles choses et prendre du bon temps. Elles se rendent sur un hippodrome et, tout excitées, se mettent à parier au hasard puisqu’elles n’y connaissent rien.
Bien entendu, elles misent sur les mauvais chevaux et perdent à toutes les courses. Elles finissent par se lasser de cette malchance et rentrent à la maison un peu dépitées.
Alors qu’elles se consolent devant une tasse de chocolat bien chaud, l’une finit par déclarer à l’autre :
– Ne t’en fais pas, c’est bien mieux comme ça ! Si on avait gagné qu’est-ce qu’on aurait fait du cheval ?