blague maghrébin
La Ferrari et la Pijot
Sur une route, un play-boy roule en Ferrari.
Tout à coup un jeune maghrébin arrive fenêtre ouverte à sa hauteur en Peugeot, et lui dit :
« Ti connais Pijot ? » et accélère brutalement.
Le play-boy, blessé dans son amour propre, accélère un bon coup, et lui répond en le dépassant :
« Et toi, tu connais Ferrari ? »
Après quelques kilomètres, la Peugeot repasse devant et le chauffeur répète « Ti connais Pijot ? »
Le play-boy encore plus énervé accélère encore et le dépasse a nouveau en lui répétant « Et toi , tu connais Ferrari ? »
Roulant a 300 Km/h, il pense ne jamais être rattrapé. Et pourtant, la Peugeot le rattrape et le maghrébin lui répète « Ti connais Pijot ? »
Dépité, et ne pouvant plus accélérer, il répond « Oui, je connais Peugeot, et alors ? »
« Y alors Ou y sont les Freins !? »
Le Pen et l’arabe à tout faire
Le Pen a passé une petite annonce pour engager un homme à tout faire.
Un arabe se présente, qui lui sort tout un baratin comme quoi, avoir un arabe docile à son service ferait beaucoup pour son image de marque.
Le Pen le regarde (que d’un œil) et lui dit finalement « Pourquoi pas ? », et il lui fait faire le tour du domaine…
Il l’emmène d’abord à la cuisine, immense. L’arabe (sifflement admiratif) :
– Que c’est grand, que c’est beau !
Ensuite, c’est le salon, immense avec des meubles de prix. L’arabe (sifflement admiratif) :
– Que c’est grand, que c’est beau !
Puis la chambre, avec un lit immense. L’arabe (sifflement admiratif) :
– Que c’est grand, que c’est beau !
… Puis la terrasse, avec une piscine, immense aussi. L’arabe (sifflement admiratif) :
– Que c’est grand, que c’est beau ! Quelle piscine ! ça donne envie de se baigner !
Le Pen lui fait son célèbre sourire carnassier :
– Mais va te baigner mon garçon, je t’en prie !
L’arabe va se changer, pendant que Le Pen met un crocodile dans la piscine. L’arabe revient en slip, voit la piscine et le crocodile dedans.
L’arabe (sifflement admiratif) :
– Dis donc ! Une Lacoste !
Le petit arabe qui s’appelait Marcel
C’est un petit garçon arabe que ses copains embêtent à l’école, parce qu’il a des copains qui sont méchants; par exemple ils lui font :
– Comment tu t’appelles ?
– Je m’appelle Mohamed.
– On ne veut plus que tu t’appelles Mohamed, il faut que tu t’appelles Marcel.
Il leur répond :
– Oui, mais mes parents vont faire la gueule, si je m’appelle Marcel.
– Il faut que tu t’appelles Marcel !
Ils lui foutent des gifles, et tout, ils sont vraiment odieux. Le soir, Mohamed rentre chez ses parents et il leur dit :
– Papa, maman, je ne veux plus m’appeler Mohamed, je veux m’appeler Marcel.
Sa mère fait :
– Qu’est-ce que c’est que cette histoire-là ? Tu veux t’appeler Marcel ?
– Oui, je veux m’appeler Marcel.
Sa mère lui fout une claque.
Le père rentre du chantier, la mère fait :
– Viens voir, viens voir, tu ne sais pas la nouvelle, ton fils veut s’appeler Marcel, maintenant !
Le père fait :
– Quoi ?
Paf, il lui fout une claque.
Le lendemain, le môme revient à l’école, il e les deux yeux pochés et ses copains lui disent :
– Qu’est-ce qui t’arrive, Marcel ?
– Ah, m’en parlez pas, j’ai été attaqué par deux Arabes.