blague logement

Le logement marital

– Tiens ! Salut… Qu’est ce que tu deviens ?
– M’en parle pas ! Je viens de me marier, mais j’ai pas d’appart’…
– Ça ne fait rien… Emménage chez ton beau-père !
– Impossible !… Il habite chez sa belle-mère…

L’homme d’affaire et la très belle femme

C’est un homme d’affaires qui fait la rencontre d’une très belle femme.

Après quelques heures, ils conviennent de passer la nuit ensemble moyennant un montant de 500 euros que monsieur versera à madame.

Ils passent la nuit ensemble et au petit matin, il lui dit qu’il n’a pas d’argent sur lui, mais qu’elle se rassure parce que sa secrétaire lui enverrait un chèque de 500 euros pour « location de logement »…

Sur le chemin du retour, monsieur regrette et estime que ça ne valait pas le coût finalement. Il demande donc à sa secrétaire d’envoyer un chèque de 250 euros à la dame avec le message suivant :

« Madame,

Veuillez trouver ci-joint un chèque de 250 euros pour la location de votre appartement. Je n’ai pas envoyé le montant convenu parce qu’en louant votre logement je croyais :
1 ) qu’il n’avait jamais été occupé
2 ) qu’il était chauffé
3 ) qu’il était assez petit pour m’y sentir chez-moi.

Malheureusement j’ai découvert qu’il avait déjà été occupé, qu’il n’avait pas de chauffage et qu’il était trop grand. »

Sur réception de cette note, la femme lui renvoya le chèque avec le message suivant :

« Cher monsieur,

Comment avez vous pu penser qu’un si bel appartement reste vacant jusqu’à votre arrivée ?

Pour ce qui est du chauffage il n’en manque pas, il vous suffisait de l’allumer. Enfin, pour ce qui est de l’espace loué, je vous assure qu’il n’est pas plus grand qu’ailleurs… Ne blâmez pas la propriétaire, si vous n’avez pas assez de mobilier pour le meubler… »

L’incendie et la jeune comédienne

Alors qu’un incendie ravage un immeuble, un pompier a réussi à grimper en haut de la grande échelle et à s’introduire dans un studio en flammes. Saisissant dans ses bras la jeune comédienne qui occupe ce logement, il s’apprête à regagner la fenêtre mais elle se débat en lui disant :
– Profitez de la situation pour me peloter les fesses tant que vous voudrez, mais je ne me présenterai pas devant les photographes de presse et les caméras des actualités régionales sans m’être, d’abord, donné un coup de peigne et remis du rouge à lèvres.