blague lion

Un lion dans le bar

Un lion fonce vers le bar et commande un panaché… Le barman n’en revient pas :
– Incroyable… Un lion qui commande un panaché !

Le lion est furieux de cette remarque :
– Hé vous, servez-moi mon panaché et sachez que j’ai un ami qui va chaque jour au bar d’à côté et personne ne lui fait rien remarquer.

Le kangourou qui buvait tranquillement en jouant du flipper dit au lion :
– Faut pas en vouloir au barman, il est nouveau et ne connaît pas le quartier et donc pas tous les clients…

Le lion qui rugissait

Un psychiatre reçoit un patient.
– Voilà, docteur. Toutes les nuits, je me réveille et j’entends les rugissements d’un lion dans le fond de mon jardin.
– Ce n’est rien, monsieur. Vous prenez les cachets que je vais vous prescrire et vous n’entendrez plus rien.
– Merci, docteur.

Quinze jours plus tard, le même client revient :
– Docteur, vos médicaments n’ont rien fait. Maintenant, j’entends les rugissements dans la maison, au rez-de-chaussée.
– Eh bien, nous allons augmenter la dose des cachets.
– Merci, docteur.

Un mois plus tard :
– Docteur, le lion maintenant, il rugit derrière la porte de ma chambre.
– Ne vous inquiétez pas, avec vingt cachets par jour, vous n’y penserez plus.

Trois jours après :
– Docteur, le lion, il est dans mon lit à présent.
– Bon, aux grands maux les grands remèdes. Je vais vous faire une piqûre, ce sera plus efficace.

Le psychiatre n’entend plus parler de son client. Un jour, il ouvre le journal et lit :
« Un homme a été dévoré par un lion dans la chambre de sa maison. »

La blague de pépé en Afrique

Ça se passe pendant un repas de famille. Au dessert, grand-père a l’habitude de raconter toujours la même histoire qu’il a vécue pendant la guerre. Alors dans la famille, évidemment, ils en ont un peu marre.
– Tu sais, je ne vous ai jamais raconté…
– Si, si ! Tu nous l’as racontée déjà cent fois.

Et un jour il attaque une histoire et il dit :
– Quand j’étais en Afrique…

Alors là, surprise ! Ce n’est plus la même histoire ! Il se retournent intrigués.
– Mais pépé, tu es allé en Afrique ?
– Ah bah, tiens ! Du temps de Stanley, Livingston et Charden, j’étais là-bas ! Un jour j’étais à la chasse au lion, vous ne pouvez pas vous figurer ce que c’est… J’avais un vieux fusil à piston à un coup. Comme moi, tiens. Un fusil que l’on m’avait fait sur mesure. Un coup, je n’avais qu’une balle. Alors un jour, à trois mètres de moi, qu’est-ce que je vois ? Un lion énorme, la gueule béante, avec des dents comme des couteaux de cuisine qui se précipite en bavant sur moi ! Ahhhh ! Je mets ma charge de poudre, je pousse le piston, j’ajuste le lion, il était à un mètre seulement de moi, je tire et je le rate ! Et je fais dans mon pantalon !
– Oui, mais ça c’est normal, pépé. Tout le monde en aurait fait autant…
– Non ! Maintenant !