Après une nuit torride avec une « professionnelle », le maire du village sort de sa poche un billet de cinquante euros qu’il pose sur la table. La demoiselle s’écrie : – Mais c’est beaucoup trop, je ne prends que vingt ! – Vingt euros pour une nuit ? Mais comment arrives-tu à en vivre ? – Ne vous inquiétez pas pour moi. Je fais aussi du chantage à mes heures perdues !
– J’ai peur, dit un chef d’entreprise à sa secrétaire, que quelqu’un ne découvre notre liaison. – Voyons, chéri, proteste-t-elle, il est tout à fait normal qu’en tant que ta collaboratrice, je vienne me mettre à ta disposition, chaque jour, de 9 heures à 5 heures. – Oui. Mais pas de 9 heures du soir à 5 heures du matin.
Deux copains Jacques et André profitent de quelques jours de vacances pour aller faire de la randonnée dans le Cantal. Malheureusement, alors que la journée tire à sa fin, il se font prendre dans un énorme orage. Aucun abri naturel n’étant en vue, ils se dirigent vers une ferme toute proche.
Lorsqu’ils frappent à la porte, ils sont accueillis par une très jolie femme qui leur offre aussitôt l’hospitalité pour la nuit. Elle les fait entrer et explique : – J’ai perdu mon mari le mois dernier. Je ne voudrais pas que les voisins jasent si ils apprennent que je vous héberge plus longtemps, vous comprenez ? – Oui bien sûr, ne vous en faites pas. D’ailleurs, nous irons dormir dans l’étable et nous ferons simplement sécher nos vêtements dans votre maison.
Neuf mois après cet épisode Jacques reçoit une lettre du notaire de la veuve… Il appelle aussitôt son copain André : – Dis-donc Dédé, tu te souviens de cette jolie veuve qui nous avait hébergés dans le Cantal lors de ce terrible orage ? – Oui, pourquoi ? – Est-ce que, par hasard, au cours de la nuit, tu n’aurais pas quitté l’étable où nous dormions pour aller la retrouver et faire l’amour avec elle ? – Heu… Oui c’est vrai.. – Et est-ce que, toujours par hasard, tu n’aurais pas utilisé mon nom à la place du tien ?
André rougit et répond : – Oui, c’est vrai. Qu’est-ce qui se passe ? Elle est tombée enceinte ? Elle te fait des misères ? – Non non, c’est plutôt l’inverse. Elle vient de mourir accidentellement et elle m’a légué tout ce qu’elle possédait.
Une jeune bonne vient d’être engagée dans une maison très chic. Le matin quand la maîtresse de maison se lève, la bonne lui dit : – Comment allez vous aujourd’hui, Madame ?
Et Madame lui répond : – Très bien, chère enfant, mais z’apprenez à faire les liaisons entre les mots. Vous eutes dû me dire : Comment t’allez vous z’aujourd’hui, Madame.
Le soir la maîtresse de maison annonce à sa bonne qu’elle va sortir avec Monsieur et qu’il faut par conséquent préparer les vêtements z’appropriés.
La jeune bonne dit alors : – Faut-il brosser l’habit t’à Monsieur ?