blague Las Vegas

La blague du traumatisme de Las Vegas

Trois copains viennent de passer une semaine de vacances avec leurs femmes à Las Vegas.

A la fin de la semaine, ils rentrent chez eux et ne se retrouvent que le samedi suivant.

Le premier dit :
– Pouah, depuis qu’on est rentré, c’est l’enfer. Je n’irai plus à Las Vegas, ça c’est sûr ! Chaque nuit, ma femme rêve tout haut qu’elle est encore au casino à la table de dés et elle se met à crier « le 7, le 7, le 7 » tout en balançant le bras en travers du lit, comme si elle lançait les dés. C’est infernal, je ne dors plus de la nuit.

Le deuxième reprend :
– Ah je vois ce que tu veux dire. La mienne, depuis qu’on est rentré, toutes les nuits, elle se croit à la table de Black Jack et en rêve, elle me serre le bras ou elle se met à crier à chaque fois qu’elle pense avoir un beau jeu.

Le troisième regarde ses copains d’un oeil las et leur dit :
– Vous pensez être à plaindre… Qu’est-ce que je dois dire moi alors ! Pendant les vacances, ma femme n’a pas arrêté de jouer aux machines à sous… Eh bien maintenant, tous les matins, je me réveille avec des pièces plein le cul et la bite endolorie.

Un homme traumatisé par le jeu à Las Vegas
Les femmes traumatisées par Las Vegas

La naissance de Las Vegas

Au temps de la conquête de l’Ouest, deux cow-boys aperçoivent, dans un coin totalement désert du Nevada, un Indien, installé devant une table pliante.
– Il y a un petit pois sous une de ces trois coquilles de noix, leur dit-il. Voulez-vous jouer un dollar à dix contre un pour deviner où il est ?
Le premier cow-boy risque un dollar et gagne. Le second en fait autant. Après quoi, l’Indien, dans le plus pur style du bonneteau, leur fait perdre à chacun dix dollars. Au moment où ils repartent, l’un des cow-boys interroge l’Indien :
– Ça a un nom, ce bled ?
– Oui. Las Vegas.

Un français à Las Vegas

Un Français rentre d’un long séjour à Las Vegas
– Est-il vrai, lui demande un ami, que là-bas, il y a des cabarets où les serveuses portent, pour tout vêtement, une paire de boucles d’oreille et un nœud dans les cheveux ?
– Il paraît, fait-il sombrement, mais je ne saurais te l’affirmer. J’ai voulu souper, un soir, dans un de ces établissements. Et on m’en a refusé l’entrée sous le prétexte que je n’avais pas de cravate.