blague langue des signes

La blague du traître mafieux

Don Corleone, le parrain de la Mafia américaine, découvre qu’il y a dans la « famille » un traître qui a détourné cent mille dollars. Fou de rage, il charge son adjoint Luigi de découvrir le coupable.

Deux jours plus tard, Luigi a trouvé le coupable. C’est Gaetano, le sourd-muet. Comme Luigi est le seul qui puisse communiquer avec lui par le langage des gestes, Don Corleone lui demande de servir d’interprète.
– Comment as-tu pu me trahir, moi, ton parrain ! dit-il d’un ton affligé à Gaetano. Traduis, Luigi.
Luigi traduit, et Gaetano baisse la tête piteusement.

– Maintenant, tu vas me rendre l’argent que tu m’as volé, poursuit le parrain. Traduis, Luigi.
Luigi traduit, mais Gaetano secoue la tête négativement.

– Si tu ne me rends pas l’argent, je te fais découper en rondelles ! hurle Don Corleone, fou de rage. Traduis, Luigi.
Luigi traduit, et Gaetano comprend que le parrain ne plaisante pas. Terrifié, il répond par gestes : « Les cent mille dollars sont cachés dans une enveloppe, sous le lit de la chambre 26 de l’hôtel San Lucia, à Brooklin. »
– Alors ? demande le parrain. Qu’est-ce qu’il a dit.

Luigi hésite un moment puis répond.
– Il a dit que vous étiez trop trouillard pour mettre votre menace à exécution, parrain…

Mon fils joue du piano

Après avoir écouté son fils jouer du piano, un monsieur, perplexe, dit à sa femme :
– J’hésite en me demandant si c’est la réputation de Chopin qui est surfaite ou si ce petit génie n’aurait pas été mieux à même de montrer son habileté manuelle si nous l’avions aiguillé sur la profession de traducteur pour sourds-muets.

Les deux copains sourds

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Deux copains sourds sont en pleine discussion sur la façon dont ils sont rentrés chez eux la nuit précédente après une virée dans les bars de la ville. Le premier sourd dit :
– Ma femme dormait quand je suis rentré, j’ai eu du bol. Du coup je me suis enfoncé dans le lit sans la réveiller et hop ! Tout s’est bien passé.

L’autre lui répond :
– Oh oui, t’as eu de la chance. moi, elle m’attendait assise sur le lit. Quand je suis arrivé dans la chambre, elle a commencé à « monter sur ses grands chevaux » et elle m’a abreuvé de noms d’oiseaux. Pfff….

Le premier lui demande :
– Alors qu’est-ce que t’as fait ?

L’autre :
– Bah, je lui ai cloué le bec : J’ai éteint la lumière.