blague KGB

Grâce au KGB

L’histoire se passe aux temps glorieux de l’URSS. Dans une épicerie de Varsovie, tout le monde fait la queue. Une dame demande à l’épicier :
– Avez-vous du sel ?
– Grâce à Dieu, oui !

La cliente suivante demande :
– Avez-vous des œufs ?
– Grâce à Dieu, oui !

Un membre du K.G.B. qui passait par là et qui a entendu toutes les conversations, interroge l’épicier :
– Pourquoi répétez-vous toujours : « Grâce à Dieu » ?
– Pour rien, excusez-moi.

Quelques instants plus tard, une cliente demande dans le magasin :
– Avez-vous du beurre ?
– Non, Madame. Il n’y en a plus… grâce au parti !

La perestroïka du KGB

Conscient des nécessités de la perestroïka, le KGB avait organisé un grand concours en Union soviétique sur le thème : « Racontez la meilleure histoire drôle sur le communisme. ».

Récompense du concours : trente ans de travaux forcés en Sibérie.

La liberté de faire pipi

L’histoire se passe il y a quelques années, pendant la guerre froide.

Un Américain qui séjournait à Moscou pour affaires s’était arrêté à l’hôtel Moskva. Un soir, tiraillé par l’ennui, il descend au bar et tente de lier conversation avec le barman.

Après quelques verres, l’Américain aborde le sujet des libertés :
– Notre pays est vraiment le pays des libertés ! Insiste-t-il. Une fois, j’étais de passage à Langley en Virginie, et je ne trouvais pas de toilettes publiques alors que j’avais envie de faire pipi à mourir. Eh bien j’ai uriné sur le mur du quartier général de la CIA !
– Mais ici aussi, on est dans un pays libre ! Réplique le Russe. Une fois que je me baladais près de la place Lubyanka, ici à Moscou, j’ai eu une envie irrépressible de faire ma grosse commission et par malheur, il n’y avait pas de toilettes publiques non plus… Eh bien j’ai fait caca à côté du quartier général du KGB !
– Et tu t’en es tiré ? S’étonne l’Américain.
– Bien sûr, répond l’autre, personne ne m’a vu : je n’avais pas baissé mon pantalon…

Les graves questions du G7

George Bush senior, Mikhail Gorbachev, et François Mitterrand se retrouvent pour une discussion informelle lors d’un des sommets du G7.

Mitterrand dit
– Mes amis, vous m’excuserez si j’ai l’air un peu soucieux en ce moment, mais je dois vous dire que j’ai 5 maîtresses et la D.S.T. vient de m’apprendre que l’une d’entre elles me trompe.

George Bush lui répond :
– Aow, c’est terrible, mais j’ai un problème bien plus grave : J’ai 5 membres de cabinet, et la C.I.A. vient de me faire savoir que l’un d’entre eux était un agent du K.G.B.

Gorbachev secoue la tête tristement et leur dit :
– Je dois vous dire que vos problèmes ne sont rien par rapport aux miens : j’ai 5 consultants personnels de confiance, et je viens d’apprendre que l’un d’entre eux est un économiste.

La blague du bonheur russe

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Le bonheur, pour un français, c’est de se retrouver un soir dans un restaurant 5 étoiles, accompagné d’une créature pulpeuse à souhait, langoureuse que ça en devient délicieusement insupportable… Le repas est exquis, le cigare parfumé…
Puis vous montez dans la suite nuptiale…
Le lendemain, vous descendez et le maître d’hôtel vous apprends que tout cela était offert…
Voilà LE bonheur pour un français !

Le bonheur, pour un anglais, c’est de se lever à 5h du matin. Dehors, il fait nuit, il fait froid, il y a du brouillard, il pleut et il faut sortir faire pisser le chien.
Alors vous sortez, les voitures vous éclaboussent en passant…
Voilà LE bonheur pour un anglais !

Le bonheur, pour un russe, c’est d’être réveillé à 3h du matin par des coups frappés à la porte.
Vous vous levez, tremblants, vous ouvrez la porte ; il y a 2 agents du K.G.B. (sic !) dehors.
Ils demandent : « Ivan Petrovitch ? »
Vous répondez : « C’est en face »…
Voilà LE bonheur pour un russe !